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LE NEGATIONNISME MEDICAL
20 juillet 2019

Le cancer foudroyant : une invention des médecins, un outils du négationnisme ?

Le cancer foudroyant désigne une forme de cancer rare, dont l'évolution est particulièrement rapide. La vitesse de propagation des cellules cancéreuses est telle que le décès du patient peut survenir en seulement quelques mois voire en quelques semaines.
La notion de cancer foudroyant peut être associée à tous les types de tumeurs. Elle n'est pas spécifique à un organe ou à une catégorie de tissus en particulier.
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La vérité par un témoignage : Quand la chimothérapie tue
Lorsqu’il est décédé, le mari de Mme Bibeau, Paul Allard, venait de se faire retirer une tumeur au colon. L’opération s’était bien déroulée, mais son oncologue lui a offert de suivre un traitement de chimiothérapie pour réduire davantage de 5 % ses risques de récidive. Il est décédé 28 jours après le premier traitement dans des souffrances atroces, parce qu’il n’avait pas assez de l’enzyme nécessaire pour dégrader le médicament, une information inscrite dans ses gènes.
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"un nombre important de patients (entre 10% et 40% des patients traités) souffrent de réactions toxiques graves conduisant à des séjours hospitaliers coûteux et plus de 1 000 patients mourront chaque année aux États-Unis."
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"Étonnamment, pour la plupart des cancers, il convient de l'éviter !" prof peter Gotzsche
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C’est l’histoire d’une molécule appelée 5-FU, présente dans de nombreuses chimiothérapies et pouvant provoquer des effets secondaires allant jusqu’au décès chez 25% des patients. Or, un simple test par prise de sang permettrait de modifier le traitement.
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le massacre médical
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Entre 120 et 150 risques de décès chaque année
Chaque année, 80 000 nouveaux patients sont concernés par ces chimiothérapies à base de 5-FU, qui entrent dans 60% des traitements (cancers colorectaux, digestifs, sein, et ORL). « 10% des patients sont déficitaires partiels en DPD et ont un risque de toxicité qui peut être importante tandis que deux pour mille sont déficitaires complets. Pour ceux-là, il y a un risque de décès », explique le Dr Boisdron-Celle, responsable du département de bio-pathologie à l’Institut de cancérologie de l’Ouest (ICO), à Angers. La particularité des « toxicités aigues », précise-t-elle, est qu’elles surviennent « relativement rapidement », entre deux et cinq jours après la fin de la cure de chimio. En cas de déficit complet de l’enzyme DPD, la biologiste explique que le patient fait une « toxicité polyviscérale », avec diarrhées très importantes (et déshydratation), aplasie (chute des globules blancs), syndrome main-pieds (réactions inflammatoires), chute des cheveux, coma, et décès. »
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Le 15 avril 1996, ma mère est décédée, exactement 10 jours après avoir subi une chimiothérapie. Son chirurgien lui avait dit qu'elle n'avait besoin que de six traitements. Ma mère est morte après seulement un.
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Les patients doivent être avertis des dangers de la chimiothérapie après que des recherches ont montré que les médicaments anticancéreux tuent jusqu'à 50% des patients dans certains hôpitaux.
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nicole Delépine : chimiothérapie "les cancéreux meurent "mystérieusement" de cancers foudroyants"

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