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LE NEGATIONNISME MEDICAL
28 juillet 2019

Benzodiazépines / somnifères : sevrage, syndrôme prolongé de sevrage et NEGATIONNISME DES MEDECINS

"Bref, ce n'est pas simple est je pense que dans tous les cas, le terme de sevrage est inadapté après 3 mois. " ou : le forum atoute dans "mensonges et propagandes" (c'est une habitude)
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Le négationnisme de l'association de médecins morphé (Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil : A FUIR !!!)
"Aucun medecin n'en doute la existence d'un syndrome de sevrage des benzodiazépines qui a été démontre à répétition dans les études. Mais tous les symptômes décrit par les patients dans les  vidéos ne sont pas compatibles avec un simple syndrome de sevrage et d'autres pathologies sont à suspecter.
Si vous avez du mal à arrêter vos benzodiazépines il ne faut pas penser que tous vos symptômes sont forcement en relation avec les benzodiazépines. J'encourage tout patient avec des symptômes handicapants durant un sevrage médicamenteux de faire un bilan médical et psychiatrique complet afin de ne pas passer à coté d'une autre pathologie."
 
demander la reconnaissance du syndrome de sevrage prolongé aux benzodiazépines, affection multiforme et extrêmement invalidante, et sa prise en charge par l'assurance maladie ; informer et sensibiliser les médecins prescripteurs à cette maladie iatrogène d'une extrême gravité ; demander au législateur la mise en place d'un fonds d'indemnisation des victimes des benzodiazépines.
 
Beaucoup de ceux qui se retirent subissent des souffrances inimaginables et certains sont laissés en permanence endommagés par le cerveau (voir les récits personnels dans ce document). Ces dommages au cerveau ne seront pas diagnostiqués comme attribuables aux médicaments. Au lieu de cela, les patients souffrant de handicaps graves sont informés que leurs symptômes sont attribuables à la «dépression» ou à «l'anxiété» ou à un autre problème de santé mentale.
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Pas un médecin n'a accepté que le 'med' puisse causer des problèmes ou n'a voulu en discuter avec moi
 
avec la schizophrénie, la dépression et d'autres maladies psychiatriques. Ils sont souvent fortement médicamenter avec antipsychotiques, antidépresseurs, ou replacés sur leur benzo. Certains médecins incultes prescrivent Lyrica et Neurontin pour l'anxiété pendant le retrait. Ces médicaments agissent sur les mêmes récepteurs que benzos, et ne sont pas recommandés. L'alcool, la racine de valériane, le kava et devrait être évité aussi bien pour les mêmes raisons. Certains médecins prescrivent des antipsychotiques, cependant, ils n'aident pas lors d'un sevrage de benzo et peuvent aggraver les symptômes de sevrage pire.
 
Un spécialiste de la toxicomanie m'a dit un jour que personne ne pouvait devenir accro à Ativan (une benzodiazépine) à moins d'avoir pris ce médicament pendant plus de deux ans. C'est un mythe complet.
 
« Nous sommes rendus malades par les médecins, qui sont payés par l'état, mais nous sommes rejeté des avantages qu'ont les malades, »
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" Je dois dire que ma mère qui prenait du temestat depuis des années aussi a eu un nouveau medecin qui a décidé de la sevrer trop rapidement, elle s'est retrouvé aux urgence en état de confusion mentale, et ils ne lui on pas donné son temesta, 24h après elle a fait une grosse crise d’épilepsie et  s'est retrouvé dans le coma.
A son réveil, elle ne reconnaissait plus personne, et ça a duré 2 mois, pendant ces deux mois, j'ai bassiné les medecins en leur disant que je savais qu'elle avait réagit à un sevrage trop rapide des benzos, aucuns ne m'a prise au sérieux.
Ils y sont aller de diagnostique de possible Alzheimer, Parkinson, les deux ensembles aussi, une forme atypique de démence sénile, enfin, j'ai passé 6 mois a me battre contre eux et ma mère s'est retrouvé avec une sonde pour pouvoir manger car elle ne pouvait plus déglutir, les muscles inexistants car elle ne pouvait plus bouger, c'était horrible."
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benzodiazépines = l’enfer sur ordonnance! oui plus dur à sevrer que l’héroine et le crack!! omerta et déni des charlatans des pseudo médecins; tous les symptomes que décrivent le professeur Ashton une trentaine!! je les ai!! un vrai martyr je suis torturée dans mon cerveau et mon corps et ça dure!!! ça n’en finit pas!! torturée comme un animal de laboratoire je vacille entre le désespoir et l’envie de suicide tellement je souffre un martyr sans nom et cet écourant déni des « médecins » qui vous accusent en plus d’être de sales drogués par contre ils sont plein de compassion pour les héroinomanes; lésions dans le cerveau et le corps parfois irréversibles et on ose appelés ces trucs diaboliques médicaments!! si j’avais su j’aurais plutot pris de l’héro de la coke et de l’alcool et ça fait tres longtemps que j’en serais sortie sans ces souffrances de torturée et sans lésions!! c’est un grand génocide qui passe inaperçu car oui j’ai été conne de faire confiance à ces charlatans assassins et crétins de docteurs!! il ne reste plus que Dieu pour guérir ce qui humainement est inguérissable!! je n’aurais jamais imaginé qu’on puisse autant souffrir c’est comme être torturé par les nazis avec leurs expériences sur les détenus!! salopards de pseudo médecins charlatans qui ne connaissent rien au cerveau et aux chimistes de big pharma qui eux sont carrément satanistes, savent tres bien quelles molécules qui détruisent tout en ayant ouvert la boite de pandorre!!
 
Malgré la documentation écrasante sur le syndrome de sevrage prolongé des benzodiazépines dans la littérature médicale moderne scientifique et occidentalisée, la plupart des professionnels de la santé ignorent (ou refusent de croire) que le PWS peut et se produit avec divers médicaments psychiatriques, dont les benzodiazépines.
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Beaucoup de ceux qui se retirent subissent des souffrances inimaginables et certains sont laissés en permanence endommagés par le cerveau (voir les récits personnels dans ce document). Ces dommages au cerveau ne seront pas diagnostiqués comme attribuables aux médicaments. Au lieu de cela, les patients souffrant de handicaps graves sont informés que leurs symptômes sont attribuables à la «dépression» ou à «l'anxiété» ou à un autre problème de santé mentale.
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En France les syndromes prolongés de sevrage étant niés par les médecins, par facilité, quelque fois sur ordre, de rares fois par ignorance, dans le but de continuer a empoisonner un maximum de victimes, ils identifient les symptômes de sevrage aux psychotropes non pas comme tel mais comme une autre maladie : dépression, fibromyalgie, syndrome des jambes sans repos, syndrome de fatigue chronique, phobie sociale, bipolarité,et autres maladies psychiatriques divers afin de vous empoisonner avec : ... d'autres drogues psychiatriques (souvent encore pire que les premières) !!
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"terribles tortures quotidiennes"
 

DENI DES MEDECINS

"j'ai effectué un sevrage trop rapide...je pensais que peut-être mes symptômes était dus aux sevrage des benzodiazépines, mais on m'a dit que ce n'était pas possible, car les symptômes de sevrage ne duraient que quelques semaines"

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AGONIE DES VICTIMES : LE SYNDROME PROLONGE DE SEVRAGE AUX BENZODIAZEPINES DOIT ËTRE RECONNU !

 

Mensonges, foutaises, dénis pour vendre leurs poisons immondes et NEGATIONNSIME des médecins

Négationnisme : Les médecins vous inventent une maladie pour cacher les syndromes de sevrage et les syndrome prolongés de sevrage

Sevrage benzodiazépine : le négationnisme médical

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