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LE NEGATIONNISME MEDICAL
29 juillet 2019

Négationnisme des médecins

négationnisme médical

En 10 secondes, le professeur christian Perronne nous explique le négationnisme médical systématique concernant les effets secondaires des médicaments de BIG PHARMA.

Ils font passer les effets secondaires des médicaments (ou de sevrage), pour une nouvelle maladie ou une aggravation de la maladie initiale

Effets secondaires médicamenteux : l'habituel déni des médecins
Anne Harding, journaliste de l’agence, a mené une enquête et a découvert que lorsque les consommateurs de médicaments pensent qu’ils sont victimes d’effets secondaires, la plupart du temps, les médecins rejettent leurs plaintes. Au cours d’une enquête concernant 650 patients, qui prenaient des statines pour faire baisser leur niveau de cholestérol, la majorité des patients ont déclaré que leurs médecins ont nié qu’il pouvait  y avoir un rapport entre ces médicaments et les symptômes qu’ils leur rapportaient.

Le Dr Béatrice A. Golomb, de l’université de Californie à San Diego, a déclaré :«Cela semble se produire même lorsque les effets sont officiellement connus au sujet des médicaments très largement utilisés . Nous avons besoin d’une meilleure éducation des médecins au sujet des effets contraires, et d’un plus important engagement des patients pour signaler ces effets »

Les conséquences les plus graves des statines sont des atteintes du foie, et des problèmes musculaires, sans compter que les statines sont impliquées, parmi d’autres dommages, dans les pertes de mémoire, de concentration, et les sautes d’humeur.

La réaction des médecins est primordiale car les problèmes musculaires risquent de s’aggraver jusqu’à une condition rare mais fatale appelée « rhabdomyolyse » si la prise du médicament n’est pas immédiatement arrêtée.

Les chercheurs ont constaté, au cours de leur investigation, que c’est presque toujours le malade et non le médecin qui soulève ce problème.
Parmi les patients avec des pathologies musculaires ou cognitives, 47 % d’entre eux signalent que leurs médecins ont vigoureusement nié que les symptômes rapportés pouvaient avoir un lien avec les statines, alors que 51 % des patients ayant des neuropathies périphériques – un type de douleurs musculaires affectant les extrémités – ont constaté les mêmes dénégations.  Dans l’ensemble, 32 % des patients ont rapporté que leurs médecins ont affirmé qu’il « ne pouvait y avoir de lien » , 39 % ont estimé que « cela pouvait être possible » et que 29 % n’ont ni admis ni rejeté cette possibilité ».

Les enquêteurs ont été surpris d’apprendre qu’autant de médecins avaient refusé cette possibilité.

Bien que cela n’ait pas été le but de l’enquête, le Dr Golomb a noté qu’il n’existe de la part de l’industrie pharmaceutique « aucun intérêt parallèle d’être certaine que les médecins sont avertis des effets secondaires » alors qu’elle est certaine d’avoir le dernier mot au sujet des bénéfices engendrés par les médicaments qu’elle vend.

Le Dr Golomb a ajouté : « les patients devraient être prévenus des risques engendrés par les médicaments qu’ils absorbent et ceux qui constatent que leurs médecins ne remplissent pas leurs devoirs devraient s’adresser ailleurs pour être soignés. Ils devraient toujours choisir un médecin qui semble les écouter ». (cf.Drug Safety, août 2007)
Malheureusement c’est loin d’être le cas, car la parole du médecin est souvent considérée comme celle de Dieu lui-même, et l’on ne met jamais en doute la parole de Dieu.
Quoi qu’il en soit, si les médicaments étaient testés sérieusement et non sur des animaux, différents de l’homme comme nous le répétons sans cesse, ces médicaments n’auraient jamais été acceptés sur le marché. C’est bien là le problème, le « marché » et la « croissance » étant bien plus importants que la santé humaine.
Sylvie Simon

La double peine des victimes
fichier pdf a télécharger

Le traitement était super, le patient est décédé
les méfaits que ces médicaments peuvent causer ont, pour de nombreux médecins, disparu. Lorsque les personnes sont mises sous traitement et que leur état s'aggrave, cela est interprété comme une aggravation de leur état et conduit à une augmentation des doses du médicament problématique et à l'ajout de plus de médicaments.


En 2014, en Europe, les victimes d'effets indésirables graves de médicaments continuent à éprouver les pires difficultés pour être reconnues comme telles. Il est temps de prendre conscience du caractère inacceptable de cette situation, et d'agir.
Le 30 janvier 2014, lors de la "Pilule d'Or 2014", Prescrire a organisé une conférence-débat sur les victimes d'effets indésirables.
Millie Kieve, fondatrice d'April, association britannique de victimes d'effets indésirables médicamenteux psychiatriques, a donné la voix aux victimes, notamment au travers de témoignages personnels.
Sophie Le Pallec, présidente d'Amalyste, association française de conseils et d'aide aux patients victimes des syndromes de Lyell et de Stevens-Johnson (des effets indésirables très graves de médicaments) a montré comment il était en pratique presque impossible aux victimes de médicaments d'être reconnues comme telles, notamment en raison d'une législation inadaptée.
Bruno Toussaint, directeur éditorial de Prescrire, a souligné qu'il était important d'écouter les victimes, pour mieux soigner : « Beaucoup de drames sont évitables en choisissant mieux les traitements. (...) Chacun a intérêt à écouter les victimes des médicaments. Chacun a intérêt à les connaître, à les reconnaître, à les écouter. Leur histoire, leur parcours, leurs témoignages, et ceux de leur entourage, sont une riche source de progrès pour mieux soigner, pour mieux choisir les traitements, pour mieux s'informer et se former, pour mieux réguler le marché des médicaments, pour mieux gérer les ressources de l'assurance maladie, et aussi pour repenser en profondeur la prise en charge des victimes des médicaments, y compris en matière juridique (…) ». Les textes des interventions sont en accès libre ICI

Vidéo intervention de Millie Kieve (fondatrice d'April), en français, à la Conférence de la Pilule d'Or Prescrire 2014

Environ 9,6 millions d’Américains âgés subissent des effets secondaires négatifs de leurs médicaments chaque année. Des effets secondaires connus sont traitées comme si ils étaient de nouvelles maladies et des médicaments supplémentaires sont prescrits pour traiter les effets secondaires au lieu d’essayer de les prévenir.
Plus de deux millions d’Américains sont envoyés à l’hôpital ou gravement blessés par des effets secondaires de chaque année. En fait, avec plus de 100.000 décès chaque année, les réactions indésirables aux médicaments sont une des principales causes de décès aux États-Unis – et bon nombre de ces cas sont évitables !
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.erreurs de diagnostic médical qui durent depuis des années
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De plus en plus, toute information sur les effets indésirables est qualifiée de "fausse nouvelle" - et les patients qui y prêtent attention sont méprisés ou carrément rejetés. L'implication est que parce que nous sommes tellement moins éduqués que nos médecins, nous ne pouvons pas distinguer le sensationnalisme de la science. Nous devenons donc la proie des « semeurs de peur sur Internet », qui nous font du mal en nous dissuadant de prendre les médicaments dont nous avons vraiment besoin.
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Négationisme médical
Les génocides
 
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28 juillet 2019

Benzodiazépines / somnifères : sevrage, syndrôme prolongé de sevrage et NEGATIONNISME DES MEDECINS

"Bref, ce n'est pas simple est je pense que dans tous les cas, le terme de sevrage est inadapté après 3 mois. " ou : le forum atoute dans "mensonges et propagandes" (c'est une habitude)
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Le négationnisme de l'association de médecins morphé (Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil : A FUIR !!!)
"Aucun medecin n'en doute la existence d'un syndrome de sevrage des benzodiazépines qui a été démontre à répétition dans les études. Mais tous les symptômes décrit par les patients dans les  vidéos ne sont pas compatibles avec un simple syndrome de sevrage et d'autres pathologies sont à suspecter.
Si vous avez du mal à arrêter vos benzodiazépines il ne faut pas penser que tous vos symptômes sont forcement en relation avec les benzodiazépines. J'encourage tout patient avec des symptômes handicapants durant un sevrage médicamenteux de faire un bilan médical et psychiatrique complet afin de ne pas passer à coté d'une autre pathologie."
 
demander la reconnaissance du syndrome de sevrage prolongé aux benzodiazépines, affection multiforme et extrêmement invalidante, et sa prise en charge par l'assurance maladie ; informer et sensibiliser les médecins prescripteurs à cette maladie iatrogène d'une extrême gravité ; demander au législateur la mise en place d'un fonds d'indemnisation des victimes des benzodiazépines.
 
Beaucoup de ceux qui se retirent subissent des souffrances inimaginables et certains sont laissés en permanence endommagés par le cerveau (voir les récits personnels dans ce document). Ces dommages au cerveau ne seront pas diagnostiqués comme attribuables aux médicaments. Au lieu de cela, les patients souffrant de handicaps graves sont informés que leurs symptômes sont attribuables à la «dépression» ou à «l'anxiété» ou à un autre problème de santé mentale.
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Pas un médecin n'a accepté que le 'med' puisse causer des problèmes ou n'a voulu en discuter avec moi
 
avec la schizophrénie, la dépression et d'autres maladies psychiatriques. Ils sont souvent fortement médicamenter avec antipsychotiques, antidépresseurs, ou replacés sur leur benzo. Certains médecins incultes prescrivent Lyrica et Neurontin pour l'anxiété pendant le retrait. Ces médicaments agissent sur les mêmes récepteurs que benzos, et ne sont pas recommandés. L'alcool, la racine de valériane, le kava et devrait être évité aussi bien pour les mêmes raisons. Certains médecins prescrivent des antipsychotiques, cependant, ils n'aident pas lors d'un sevrage de benzo et peuvent aggraver les symptômes de sevrage pire.
 
Un spécialiste de la toxicomanie m'a dit un jour que personne ne pouvait devenir accro à Ativan (une benzodiazépine) à moins d'avoir pris ce médicament pendant plus de deux ans. C'est un mythe complet.
 
« Nous sommes rendus malades par les médecins, qui sont payés par l'état, mais nous sommes rejeté des avantages qu'ont les malades, »
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" Je dois dire que ma mère qui prenait du temestat depuis des années aussi a eu un nouveau medecin qui a décidé de la sevrer trop rapidement, elle s'est retrouvé aux urgence en état de confusion mentale, et ils ne lui on pas donné son temesta, 24h après elle a fait une grosse crise d’épilepsie et  s'est retrouvé dans le coma.
A son réveil, elle ne reconnaissait plus personne, et ça a duré 2 mois, pendant ces deux mois, j'ai bassiné les medecins en leur disant que je savais qu'elle avait réagit à un sevrage trop rapide des benzos, aucuns ne m'a prise au sérieux.
Ils y sont aller de diagnostique de possible Alzheimer, Parkinson, les deux ensembles aussi, une forme atypique de démence sénile, enfin, j'ai passé 6 mois a me battre contre eux et ma mère s'est retrouvé avec une sonde pour pouvoir manger car elle ne pouvait plus déglutir, les muscles inexistants car elle ne pouvait plus bouger, c'était horrible."
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benzodiazépines = l’enfer sur ordonnance! oui plus dur à sevrer que l’héroine et le crack!! omerta et déni des charlatans des pseudo médecins; tous les symptomes que décrivent le professeur Ashton une trentaine!! je les ai!! un vrai martyr je suis torturée dans mon cerveau et mon corps et ça dure!!! ça n’en finit pas!! torturée comme un animal de laboratoire je vacille entre le désespoir et l’envie de suicide tellement je souffre un martyr sans nom et cet écourant déni des « médecins » qui vous accusent en plus d’être de sales drogués par contre ils sont plein de compassion pour les héroinomanes; lésions dans le cerveau et le corps parfois irréversibles et on ose appelés ces trucs diaboliques médicaments!! si j’avais su j’aurais plutot pris de l’héro de la coke et de l’alcool et ça fait tres longtemps que j’en serais sortie sans ces souffrances de torturée et sans lésions!! c’est un grand génocide qui passe inaperçu car oui j’ai été conne de faire confiance à ces charlatans assassins et crétins de docteurs!! il ne reste plus que Dieu pour guérir ce qui humainement est inguérissable!! je n’aurais jamais imaginé qu’on puisse autant souffrir c’est comme être torturé par les nazis avec leurs expériences sur les détenus!! salopards de pseudo médecins charlatans qui ne connaissent rien au cerveau et aux chimistes de big pharma qui eux sont carrément satanistes, savent tres bien quelles molécules qui détruisent tout en ayant ouvert la boite de pandorre!!
 
Malgré la documentation écrasante sur le syndrome de sevrage prolongé des benzodiazépines dans la littérature médicale moderne scientifique et occidentalisée, la plupart des professionnels de la santé ignorent (ou refusent de croire) que le PWS peut et se produit avec divers médicaments psychiatriques, dont les benzodiazépines.
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Beaucoup de ceux qui se retirent subissent des souffrances inimaginables et certains sont laissés en permanence endommagés par le cerveau (voir les récits personnels dans ce document). Ces dommages au cerveau ne seront pas diagnostiqués comme attribuables aux médicaments. Au lieu de cela, les patients souffrant de handicaps graves sont informés que leurs symptômes sont attribuables à la «dépression» ou à «l'anxiété» ou à un autre problème de santé mentale.
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En France les syndromes prolongés de sevrage étant niés par les médecins, par facilité, quelque fois sur ordre, de rares fois par ignorance, dans le but de continuer a empoisonner un maximum de victimes, ils identifient les symptômes de sevrage aux psychotropes non pas comme tel mais comme une autre maladie : dépression, fibromyalgie, syndrome des jambes sans repos, syndrome de fatigue chronique, phobie sociale, bipolarité,et autres maladies psychiatriques divers afin de vous empoisonner avec : ... d'autres drogues psychiatriques (souvent encore pire que les premières) !!
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"terribles tortures quotidiennes"
 

DENI DES MEDECINS

"j'ai effectué un sevrage trop rapide...je pensais que peut-être mes symptômes était dus aux sevrage des benzodiazépines, mais on m'a dit que ce n'était pas possible, car les symptômes de sevrage ne duraient que quelques semaines"

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AGONIE DES VICTIMES : LE SYNDROME PROLONGE DE SEVRAGE AUX BENZODIAZEPINES DOIT ËTRE RECONNU !

 

Mensonges, foutaises, dénis pour vendre leurs poisons immondes et NEGATIONNSIME des médecins

Négationnisme : Les médecins vous inventent une maladie pour cacher les syndromes de sevrage et les syndrome prolongés de sevrage

Sevrage benzodiazépine : le négationnisme médical

21 juillet 2019

Levothyrox et négationnisme

Il est temps de le confondre pour libérer la science des mandarins qui l’étouffent.

Il y a quelques mois, dans ces colonnes, j'émettais quelques hypothèses pour tenter d'expliquer " l'affaire Levothyrox " : il me semblait qu'il n'y avait pas d'argument pharmacologique pour penser que le Mannitol, dans la nouvelle formule du Levothyrox, puisse expliquer les symptômes décrits.
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Curieusement les plaignantes se font fait traitées d’hystériques, d’autant qu’il s’agit le plus souvent de femmes. Elles ont d’abord été méprisées par des médecins et des officiels qui les ont traitées de folles, de simulatrices, de déprimées, et ont accusé les réseaux sociaux de susciter une fausse polémique ! « A la pharmacie, on lui a dit que c’était juste le paquet qui avait changé ».  Trop de professionnels soumis à l’autorité (qui ne peut se tromper !) ont accusé les patients de manipulation ou de délire contagieux.
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Les autorités viennent de dévoiler une étude qui tente de dédouaner la nouvelle formule
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14 décès de patients qui prenaient du Levothyrox signalés, l'Agence du médicament nie tout "lien établi"
Mis en cause par l'enquête de l'hebdomadaire, l'ANSM a pour sa part confirmé les décès (précisant que 14 avaient été signalés) et réagi à travers une série de tweets, affirmant notamment qu'aucun "lien établi" ne pouvait être fait.
Mais, selon les révélations d'Ebdo, ces effets secondaires pourraient être sous-estimés. "Peut-être qu'en réalité il y a 300.000 effets secondaires...", témoigne auprès de l'hebdomadaire un cadre de l'ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament). "C'est le bordel, cette affaire! Il y a un vrai problème de santé publique avec le Levothyrox." Un autre expert de l'ANSM confirme: "pendant des semaines, les autorités ont nié l'existence ou la gravité des effets secondaires liés à la nouvelle formule".
 
Il s’agit d’un réel scandale. L’obstination dans le déni des souffrances des gens, «l’enfumage» des autorités de santé pour nier à tout prix, minimiser l’existence de ces effets secondaires terribles - qui ne sont nullement « transitoires » et affectent des dizaines de milliers de personnes (voire des centaines de milliers) est inacceptable.
 
Face à ces symptômes, de nombreux médecins sont allés jusqu'à parler d'hystérie collective, niant les effets délétères du Levothyrox.
 
« les études de pharmacovigilance, que nous suivons de près, ne permettent pas, en l’état actuel des choses, de remettre en cause la nouvelle formule du Levothyrox ».
 
La ministre de la Santé a réagi à la polémique créée par le remplacement du médicament, dont la nouvelle formule provoque nombre d'effets secondaires.
 
Selon le géant pharmaceutique américain Merck, cependant, la très grande majorité des trois millions de patients ne ressentent aucun désagrément.
 
 « Effet nocébo», selon le médecin traitant
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une étonnante profusion de résultats alarmants.
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L'Agence du médicament a publié son rapport final ce jeudi, basé sur une étude de plus de 2 millions de patients.
"Une négation"

Négationnisme : "Les effets secondaires de la nouvelle formule n'ont toujours pas été démontrés"

21 juillet 2019

Dépendance aux antidépresseurs et NEGATIONNISME des médecins

Il a été démontré que les ISRS ne produisent pas de dépendance, de tolérance ou de syndrome de sevrage de ce type.
Il a été démontré que les ISRS ne produisent pas de dépendance, de tolérance ou de syndrome de sevrage de ce type.
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Non, il n'y a pas de dépendance aux anti-dépresseurs.
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Le négationnisme médical est assez habituel pour cette émission TV
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"En revanche, les antidépresseurs n’induisent aucune dépendance physique. Il peut néanmoins y avoir une certaine dépendance « psychologique » qui nécessite d’envisager, avec son médecin, un arrêt progressif du traitement."
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… Mais votre médecin ne vous dira pas cela. En fait, il est beaucoup plus probable que votre médecin fasse exactement ce que le mien a fait et vous dit que ce que vous vivez est en fait un retour de votre anxiété (dépression, douleur chronique, fibromyalgie - peu importe la raison pour laquelle il a été prescrit à l'origine pour.)
L'industrie pharmaceutique vous dira catégoriquement qu'Effexor ne crée pas de dépendance. C'est un mensonge, comme vous le diront toute personne ayant déjà essayé d'arrêter de le prendre. De nombreux médecins évitent ce débat en disant simplement à leurs patients (comme le mien) que pour rester stabilisés, ils devront prendre ce médicament à tout jamais. Cela garantit de manière pratique que le patient n'est pas confronté à la réalité selon laquelle le fait de ne pas prendre Effexor est bien pire que ce pour quoi vous l'avez pris au départ dans la plupart des cas.
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Si vous hésitez à prendre un antidépresseur parce que vous craignez de devenir dépendant de ce médicament, soyez rassuré : les antidépresseurs ne sont pas considérés comme des médicaments qui causent une dépendance. Cependant, si vous cessez soudainement ou trop rapidement de prendre certains antidépresseurs, vous risquez de présenter un syndrome de sevrage causé par le retrait brusque du médicament
A condition que les personnes qui les consomment n'augmentent pas spontanément les doses de leur traitement, les antidépresseurs n'entraînent pas de dépendance physique, quelle que soit la durée de leur utilisation. Cependant, il peut exister une certaine dépendance psychologique due essentiellement à la fonction sécurisante des médicaments. Une réduction brutale de la posologie peut ainsi être à l'origine de symptômes physiques bénins : vertiges, nausées, sueurs. Ces effets ne se produisent pas si la posologie est réduite progressivement.
anxiolytique : on estime à 7 % la proportion de consommateurs que la prise régulière expose au risque de dépendance.
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Les antidépresseurs, lui dit-on avec insistance, ne provoquaient pas de dépendance et elle pouvait cesser de les prendre chaque fois qu'elle en avait envie. Mais quand elle a essayé, elle s'est retrouvée confrontée à un gant d'effets secondaires horribles, notamment une anxiété extrême et une terreur irrationnelle d'actes, d'objets et de lieux quotidiens. Parfois, elle sentait qu'elle pourrait devenir folle.
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Ben Carey a récemment publié un article dans le New York Times sur la dépendance et le retrait des antidépresseurs. Ici Cela a conduit à plus de mille commentaires dans les 48 heures, y compris une série de commentaires prévisibles de médecins affirmant que les antidépresseurs ne causent pas de dépendance et que tout problème qu'ils causent est facilement gérable.
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Cette dépendance peut être plus sévère que celle induite par des drogues dures telles que la cocaïne, l'héroïne ou les amphétamines.
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"Il est plus difficile de stopper les antidépresseurs que l'héroïne ou la cocaïne"

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Les symptômes de sevrage sont identiques pour les benzodiazépines et pour les antidépresseurs
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21 juillet 2019

Médicaments, Holocauste, Totalitarisme : "nous avons atteint le stade du NEGATIONNISME"

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BANDEAU

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21 juillet 2019

Finastéride / propécia, contre la chute des cheveux et NEGATIONNISME DES MEDECINS et labos

L'un des médecins dans la vidéo prétend qu'il n'a jamais eu de patient qui avait eu des effets secondaires permanents de Finasteride après l'avoir prescrit pendant 20 ans.
L'autre docteur l'appelle "une drogue très sûre"

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"Ce n'est pas lié a la drogue, c'est psychologique"(2018)

Commentaire du forum privé PFS : " Les crétins comme ce type causent presque autant de dégâts que la drogue elle-même"

Souvent altérée par la vie, la SSP est caractérisée par des effets secondaires sexuels, neurologiques et physiques dévastateurs qui persistent chez les hommes qui ont pris l'inhibiteur de l'enzyme 5-alpha réductase de type II, le finastéride.
 
En réalité c’est une véritable transformation des organes sexuels que subissent les victimes, avec rétrécissement des parties génitales, perte de sensibilité, poussée des seins, perte de l’odeur mâle. C’est le corps tout entier qui est impacté : fatigue chronique, perte de tonus musculaire, dysfonctionnements gastriques ; puis l’esprit, avec des difficultés à se concentrer, l’impossibilité à trouver le sommeil, l’impression de vivre dans un brouillard permanent (le « brain frog » disent les victimes américaines).
 
Et pourtant la pathologie qu'ils endurent n'est pas reconnue par le monde médical

 

Témoignage : Au bout de cinq mois, il aurait perdu toute libido et plongé dans un état apathique chronique. "C'est une sensation de vide vraiment atroce. Comme si ma vie s'était arrêtée il y a huit ans et que j'étais en permanence en attente que ça revienne. Le fait de ne pas pouvoir avoir d'acte sexuel est quasiment secondaire tellement c'est difficile", résume l'homme qui ajoute avoir parfois des pulsions suicidaires.

21 juillet 2019

Akathisie / syndrome des jambes sans repos / TORTURE CHIMIQUE et négationnisme des médecins

Quoique la France soit l’un des pays où l’on consomme le plus d’antidépresseurs, elle a par miracle été épargné jusqu’ici par l’akathisie – tout comme elle a été épargné par le nuage de Tchernobyl. »
 
L’akathisie est un trouble, induit comme un effet secondaire des médicaments (y compris les ISRS et les antipsychotiques), qui peut amener une personne à ressentir une telle agitation intérieure intense que la victime est conduite à la violence et / ou au suicide. Il a été dit: « La mort peut être un résultat bienvenu ». Pour des raisons liées au fort pouvoir politique et de lobbying des compagnies pharmaceutiques, l’akathisie est rarement expliquée comme un effet secondaire possible des médicaments, et les professionnels de la santé et le grand public en savent très peu sur l’existence de ce trouble.
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Les médecins font souvent passer l'akathisie comme une nouvelle maladie (syndrome des jambes sans repos) et nient les effets secondaires des médicaments ou de sevrage
 

"les médecins ont tous nié que les médicaments auraient pu causer son état"

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21 juillet 2019

Négationnisme et Dépakine

un pied de nez à ces experts pourris de l'#ONIAM qui osent dire que mes enfants n'ont rien! Malgré le fait que le #diagnostic d'#autisme a été posé par Centre Hospitalier ainsi que les #experts du civil et du #TA. L'ONIAM va fusionner et nous allons virés ces experts #malveillants à l'égards des #victimes de la #Dépakine Encore ce matin un papa qui me téléphone dévasté que la #mort de sa petite Elodie à l'âge de 3 semaines ne soit reconnu qu'à 50% ils sont dévastés!!! Il faut arrêté cela c'est un massacre ! Ces experts sont des bandits !
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Nous n’avons reçu de Sanofi et des autres personnes impliquées que du déni, du mépris. Nous étions des illuminés. Nous avions pourtant raison, hélas ! [1] »
21 juillet 2019

Cancer de la prostate, traitements, dépistage, mensonge et négationnisme

Dans certains pays d'Amérique du Nord, où le dosage du marqueur prostatique PSA à visée diagnostique est très diffusé, la mortalité imputable à ce cancer a récemment régressé. Elle aurait ainsi diminué de 23 % au Québec par rapport au début des années 1990.
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Il est temps de ne plus laisser les lobbies pharmaceutiques et certaines catégories de médecins bien intentionnés mais crédules te dicter comment tu devrais t’occuper de toi.
Comme le dépistage du cancer du sein, le dépistage du cancer de la prostate est parfaitement inutile et même néfaste pour la santé. Il sert surtout à augmenter artificiellement le nombre de personnes traitées pour un cancer et ainsi fournir de la chair fraîche à l’industrie du cancer. Celle-ci va pouvoir en retirer beaucoup d’argent grâce aux surdiagnostics et aux surtraitements qui en découlent : opérations inutiles, chimiothérapies inutiles et radiothérapies inutiles (et dangereuses). De plus, même chez un vrai cancer de la prostate évolutif, ces traitements ne sont pas souvent justifiés !
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"Les malades atteints du cancer de la prostate meurent avec un cancer de la prostate, mais pas du cancer de la prostate"
80% de surdiagnostics !
Les traitements ne servent a...pas grand chose
Les victimes meurent en particulier des complications du traitement du cancer de la prostate

"Flutamide est un équivalent anglais en termes d'utilisation de Lupron ou de Casodex aux États-Unis, ce qui signifie fondamentalement que vous devenez un eunuque. Il vous castrera chimiquement. Il vous coupe la testostérone. Ce que mon père est mort était en fait une crise cardiaque. certificat de décès, il est dit infarctus du myocarde.
"Il est mort d'une crise cardiaque parce que, au fil des années, il a pris du Flutamide, son corps s'est contracté, ses muscles ont été contractés, son os s'est contracté et son cœur s'est arrêté. Mais il n'est pas mort d'une crise cardiaque; il est décédé suite à la utilisation d'un médicament anti-testostérone. "
Grâce à ses recherches, Peter a découvert que les hommes ayant un taux de testostérone élevé et libre ne développaient pas le cancer de la prostate. Le cancer de la prostate est provoqué chez les hommes à faible taux de testostérone libre et à forte teneur en œstrogènes.
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Il est question d’effets indésirables tels : morbidité et mortalité cardio-vasculaire (infarctus du myocarde, mort subite par arrêt cardio-respiratoire, etc.), insulinorésistance et diabète chez les hommes traités pour un cancer de la prostate par Enantone, Décapeptyl, Eligard, Viadur, Gonapeptyl, Zoladex, Suprefact, Lucrin, Lupron ou tout autre médicament de la classe des analogues agonistes GnRH (aussi appelés agonistes LHRH)
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21 juillet 2019

Vioxx, Célébrex...Déni et négationnisme des médecins

Le Vioxx, cet anti-inflammatoire prescrit dans l'arthrose aurait fait des dizaines de milliers de victimes aux Etats-Unis. Et en France ? Selon l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), notre pays aurait été miraculeusement épargné. Un peu comme quand le nuage de Tchernobyl s'est arrêté aux frontières..
 
Officiellement, le Vioxx n'a fait de mal à personne en France, où 500 000 personnes en ont régulièrement pris sur ces quatre années. Outre-Atlantique, il a été reconnu qu'il a provoqué des dizaines de milliers d'accidents cardiovasculaires et la mort d'environ 40 000 personnes. Le laboratoire a dû provisonner cinq milliards de dollars en 2005-2006 pour indemniser les victimes, puis verser, en 2011, 50 millions à l'Etat américain, qui l'a reconnu coupable de dissimulation.
 
La FDA est responsable de 140000 crises cardiaques et 60000 morts Américains.C’est un plus grand nombre de personnes qui ont étés tuées que dans la guerre du Vietnam.
 
« Combien de patients Merck a-t-il tué avec le Vioxx (rofecoxib) du fait de thrombose ? Dans son essai sur les adénomes colorectaux, Merck estima les événements thrombotiques et il y avait 1,5 fois plus de cas d’infarctus du myocarde, de mort subite cardiaque ou d’AVC sous rofecoxib que sous placebo pour 100 patients traités (1). Plus de 80 millions de patients ont été traités avec rofecoxib et, puisque 10% des événements de ce type sont mortels, une estimation brute est que le rofecoxib a tué environ 120.000 personnes
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Après la condamnation a 5 millards d'indemnisation aux USA, l'expert judiciaire français, considére que le vioxx est un excellent médicament !

21 juillet 2019

Benzodiazépines + opiacés / opioïdes ou dérivés : mortel

En 20 ans de pratique comme clinicienne en toxicomanie et alcoolisme, je n'ai jamais vu de décès accidentel chez les patients prenant dûment leur mélange de benzo et d'opioide.
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près d'un tiers prennent un opiacé avec un médicament anti-anxiété de la famille des benzodiazépines tel que le Xanax (alprazolam); une combinaison qui est la cause la plus fréquente des décès par surdose d'une combinaison de médicaments
 

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21 juillet 2019

Négationnisme des médecins et horribles symtômes de sevrage des neuroleptiques

« si le sevrage des neuroleptiques vous rend tellement malade que vous allez aller à l’hôpital… de nombreuses personnes signalent que les hôpitaux nient le fait que les neuroleptiques soit à l’origine de cette réaction horrible. C’est aussi ce qui m’est arrivé. »
 
Ils font passer cela comme une rechute : c’est faux, les preuves.
 
Les symptômes de sevrage sont souvent diagnostiquée à tort comme un retour de la maladie ou le début d’une nouvelle, pour lesquelles les médicaments sont alors prescrits. Au fil du temps, cela conduit à une augmentation du nombre de toxicomanes, à long terme.
les troubles du sommeil liés aux neuroleptiques sont pas reconnus par le corps médical.

Témoignage : "C'est reconnu lors des sevrages mais selon eux c'est censé durer que quelques jours maximum.
Pourtant moi j'ai également eu des troubles du sommeil persistants de longs mois suite à un sevrage au Zyprexa trop rapide.
J'ai trouvé des tonnes de témoignages là dessus mais tout le monde a le même problème, aucun médecin n'admet l'effet secondaire.
Un neurologue vous dira la même chose, que vous avez un problème psychiatrique (on m'a dit ça aussi, ce qui est faux) et que c'est à cause de ça que vous dormez pas. Qu'il faut reprendre le traitement, ..."

21 juillet 2019

NEGATIONNISME et Médiator

Le fonds d'indemnisation sous-évalue les pathologies de nombreux malades.    L'Agence de presse médicale (APM) a soulevé jeudi un véritable lièvre. Alors que l'Office national d'indemnisation des accidents médicaux (Oniam) rendait publiques les résultats de ses expertises (64 victimes du Mediator seront indemnisées sur les 863 dossiers étudiés, soit un très faible nombre de malades), l'APM relevait que les experts minimisent la gravité des dossiers en réinterprétant les comptes-rendus des examens.
 
Il y a une chape de plomb qui s'abat dès que l'on parle du Mediator, drame favorisé par de lourds conflits d’intérêts existant entre les experts de l’Agence du médicament (ANSM, l'ex-Afssaps) et le laboratoire Servier. Plusieurs hauts responsables de l’agence ont été mis en examen pour trafic d’influence et prise illégale d’intérêts mais aucun procès pénal n’est encore audiencé.
 

21 juillet 2019

NEGATIONNISME DES MEDECINS et syndrome sérotoninergique

Dr. Ann Blake Tracy
 
A ma plus grande surprise et pourquoi j'écris cet article, les médecins reconnaissent rarement le syndrome sérotoninergique. Personne ne m'a cru quand je leur ai dit que je soupçonnais que ma mère souffrait du syndrome sérotoninergique. Personne ne m'a écouté quand j'ai demandé qu'ils testent le syndrome sérotoninergique. J'ai reçu des commentaires de ce type d'un psychiatre: «Votre mère ne peut pas souffrir du syndrome sérotoninergique, c'est trop rare.» Le syndrome sérotoninergique n'est pas rare, mais les médecins qui l'identifient le sont
 
La Honte !

Inhibiteurs de la monoamine oxydase (IMAO)
Antidépresseurs tricycliques (ATC)
Inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (Zoloft, Prozac, Paxil, Lexapro, Celexa)
Venlafaxine (Effexor)
Trazodone (Desyrel)
Néfazodone (Serzone)
Mépéridine (Demerol)
Dextrométhorphane (Remèdes contre le rhume)
Chlorphéniramine
Sumatriptan (Imitrex)
Antipsychotique atypique (Zyprexa, Risperdal, Seroquel)
L-dopa
Méridia
Lithium
Acide valproïque (Depakene)
Linézolide (Zyvox)
Millepertuis
Ginkgo Biloba
21 juillet 2019

Effets secondaires des anti-parkinsoniens : déni des médecins et des labos

"C'est dans ta tête"

21 juillet 2019

Négationnisme et Vaccin HPV gardasil

Le vaccin ne protège pas du cancer de l'utérus ! 25/05/23 Plus de cancer dans les pays vaccinés

Néanmoins, les autorités sanitaires nationales et les professionnels de la santé continue à nier toute relation de cause à effet entre les vaccins contre le VPH et les EI
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L’Association Française pour l’Information Scientifique est-elle de fait une Association Française pour l’information pseudo Scientifique, pour la désinformation, voire parfois négationniste ? Le 20ème siècle a été celui de la science et des idéologies. Le 21ème siècle paraît s’annoncer comme celui des croyances et du totalitarisme mensonger[1]. Les actualités de ces dernières années regorgent d’articles d’aspect scientifique dont le but est de nier les catastrophes dont les industriels sont responsables, afin de retarder la prise des décisions qui pourraient nuire à leurs intérêts.
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Le professeur Peter Gotzsche, directeur du Nordic Cochrane Center, a récemment décrit en détail ses réserves concernant le vaccin contre le VPH et la manière dont les essais de sécurité du vaccin ont été menés
 
Ils reconnaissent même que seulement 10% des effets indésirables sont rapportés. On nous dit que ces rapports ne prouvent pas la causalité, mais ils ont été rapportés comme des rapports spontanés où le vaccin aurait été la cause. Quand les responsables de la santé responsables de la sécurité des médicaments vont-ils cesser d'ignorer ces signaux de sécurité?
 
Aucun autre effet indésirable n'a été identifié et le GACVS considère que les vaccins anti-HPV sont extrêmement sûrs.
 
Effets secondaires du vaccin gardasil et négationnisme de l'agence européenne du médicament

Négationnisme médical, vaccins HPV et aluminium

6248 Blessures permanentes et 144 décès suite au vaccin Gardasil contre le VPH: coïncidence ou scandale ?

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Négationnisme des états et des labos

Négationnsime
Négationnsime des médecins
L'un des pires négationnistes qui veut vacciner même les garçons

21 juillet 2019

Négationnisme des médecins et maladie de lyme / La Borréliose

Il faut savoir qu'en France, en ce début 2017, il y a un véritable négationnisme au sujet de la phase tardive de la maladie de Lyme, dont les "experts" ne veulent absolument pas entendre parler
 
Aux rois de l’obscurantisme, partisans de la Terre Plate, empêcheurs de soigner en rond et accros au mensonge –  oui, vous, la clique infernale et nuisible du CNR Borrelia de Strasbourg; les pseudo-professeurs des CHU de Nancy, d’Orléans, Limoges, Clermont-Ferrand… et tous les autres suiveurs déjà prêts à s’engouffrer dans la brèche et « l’effet de mode » du Lyme, afin de faire se multiplier comme des champignons des pseudo-consultations pluridisciplinaires soi-disant « spécialisées » afin de brasser de l’air et orienter au plus vite les lymés chroniques vers la sortie et surtout vers la psychiatrie !
Vous aussi, les « négationnistes du Lyme », vous couvrirez un jour de honte et de ridicule lorsque la Vérité vous sautera à la gueule, et je vous souhaite bien des nuits sans sommeil, hantées de tous les morts que vous aurez sur la conscience !
 
SIGNER LES PÉTITIONS diffusées sur le net
ADHÉRER AUX ASSOCIATIONS :  voir plus bas
Participer aux différentes actions en justice mises en place par les associations
Écrire aux députés et sénateurs de votre région
Écrire à ceux qui se sont déjà exprimés  sur le sujet (cliquer puis descendre dans la page)Écrire à la Ministre de la Santé : par courrier postal ou via le formulaire en ligne du Ministère.
Acheter le livre de Viviane Schaller : Maladie de Lyme, l'épidémie qu'on vous caché
Acheter le livre de Roger Lenglet et Chantal Perrin : L'Affaire de la maladie de Lyme: Une enquête
Acheter le livre du Pr Christian Perronne : La vérité sur la maladie de Lyme    
Fond de dotation destiné au financement de la recherche sur la maladie de Lyme : IFL - "I for Lyme"
Participer à l'enquête "Tiques et France" -  supervisée par le Pr Perronne - cliquer sur "formulaire principal"  
En parler autour de vous
 
Quatorze ans de diagnostics erronés
Le médecin lui parle de maladie auto-immune, lui explique qu’elle souffre d’un déficit immunitaire. Elle accumule les prises de sang, on lui parle de leucémie, de lymphome, de sida. Son état s’améliore vers 2007, mais après une crise de stress, elle rechute. Le tout dure quatorze ans. Aujourd’hui encore, son élocution est difficile.
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Le professeur Christian Perronne dénonce depuis des années le déni autour de la maladie de Lyme chronique. Pour lui, et pour la centaine de médecins qui lancent dans "l'Obs" un appel à la ministre de la Santé, il faut agir. Vite.
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Alors qu’elle se répand dans le monde à toute allure (de l’Asie à l’Amérique du Nord, du Nord de l’Europe à l’Afrique subsaharienne), les autorités françaises restent dans le déni. Le manque de formation sur Lyme de la majorité des médecins entraîne d’innombrables erreurs de diagnostic et de traitement, à l’origine de l’errance médicale des personnes atteintes. Les malades vivent alors l’enfer. Et les rares médecins qui les identifient et les soignent de façon performante font l’objet de représailles au nom de la maîtrise comptable des assurances maladie.
 
Pendant combien de temps encore les autorités françaises continueront-elles d'ignorer la Borréliose de Lyme,ses dangers, sa pandémie galopante, l'incurie des autorités médicaleset sanitaires françaises ? Ces autorités qui non seulement pratiquent l'omerta, mais vont jusqu'à nier l'existence de la maladie de Lyme chronique et, plus grave encore, à réprimer durement tout professionnel de santé qui affirme le contraire ?
 
C'est dans votre tête !

PROFESSEUR CHRISTIAN PERRONNE à 4 mn 40, bactérie manipulée : Maladie de Lyme arme biologique

 

21 juillet 2019

Pr AUTHIER : "La double souffrance des symptômes et de la non-reconnaissance de la pathologie"

20 juillet 2019

Anti-cholestérol : escroquerie et NEGATIONNISME MEDICAL

Quand les patients rapportent ce qu'ils croient être des effets secondaires d'un médicament, les médecins auraient souvent tendance à rejeter le lien avec le médicament même s'il s'agit d'effets secondaires reconnus, selon une récente recherche américaine publiée dans la revue Drug Safety.
Dans une enquête auprès de 650 personnes (recrutées sur internet) ayant vécu des effets secondaires reliés aux statines (médicaments anti-cholestérol tels que Lipitor et Zocor), plusieurs rapportent que leur médecin rejetait l'idée que leurs symptômes pouvaient être liés au médicament.
"Les médecins semblent couramment mettre de côté la possibilité d'un lien. Cela semble se produire même pour les effets secondaires les plus reconnus des classes de médicaments les plus couramment prescrits", affirme Beatrice A. Golomb de l'Université de Californie à San Diego, principale auteure de la recherche.
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Après l’affaire du Mediator et des anorexigènes, de la pilule de troisième génération, c’est maintenant autour des statines et du «bon/mauvais cholestérol» que s’est déplacé l’épicentre de la polémique publique sur la «juste prescription», le tout dans le sillage d’un coup d’édition. De quoi déboussoler nombre de malades.
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Statine / anticholestérol : « Les médecins ne sont pas au courant, et nient le lien »
« Une chercheuse de l’Université de Californie, Béatrice Golomb, a réuni des témoignages dramatiques de mariages brisés, carrières détruites, et un nombre important de personnes qui ont tenté d’assassiner leur conjoint après avoir pris des statines.
Le problème, explique-t-elle, est que les gens ne font généralement pas le rapport entre les deux. Les médecins ne sont pas au courant, et nient le lien. Elle signale le cas d’un scientifique connu dans le monde entier, et de nombreuses personnes qui se sont suicidées. »
 
Beaucoup de médecins plutôt attribué les symptômes au processus normal de vieillissement, a refusé de leur connexion aux statines ou rejeté les symptômes au total-
 
Une nouvelle étude montre que l'évolocumab, commercialisé par Amgen sous le nom de Repatha, diminue les taux de cholestérol et le risque d'infarctus ainsi que d'AVC chez des personnes souffrant d'athérosclérose. Mais le traitement coûte environ 14.000 dollars par an
 
Voulez-vous savoir enfin avoir accès à une ANALYSE INDEPENDANTE des données de la science ?
 
Les sujets atteints présentent à des degrés divers, proportionnels au déficit en cholestérol, des troubles cognitifs ou des troubles de l’intelligence pour parler simplement.
 
Cette déclaration semble si incroyable que cela prend beaucoup de temps pour effacer le lavage de cerveau de son esprit afin de comprendre pleinement son importance. Pourtant, le fait que les personnes ayant un cholestérol élevé vivent plus longtemps ressort clairement de nombreux articles scientifiques.Examinez les conclusions du Dr Harlan Krumholz du Département de médecine cardiovasculaire de l’Université de Yale, qui a déclaré en 1994 que les personnes âgées avec un cholestérol faible mouraient deux fois plus souvent d’une crise cardiaque que celles avec un cholestérol élevé.
 

Débat du docteur de Lorgeril avec un négationniste

20 juillet 2019

Negationnisme et pilule contraceptive

Dans une interview accordée au Parisien ce 29 janvier, Marion Larat, victime d’un AVC sous pilule – et aujourd’hui handicapée à 80 % – nous exhorte à “continuer d’alerter sur les risques”.
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Ma médecin m’a dit que les effets secondaires que je ressentais sous pilule étaient dans ma tête.
« J’ai senti de la part des gynécologues un mépris certain pour ma réticence à tenter une contraception hormonale et pour les multiples « inconforts » ressentis durant les quelques mois où j’ai pris une pilule : « Mais non, c’est une micro dosée, vous ne pouvez pas mal la tolérer! » »
« Ma médecin m’a dit que les effets secondaires que je ressentais sous pilule étaient dans ma tête. Par défi elle m’a dit « vous n’avez qu’a essayé de faire une pause vous verrez que j’ai raison ». J’ai essayé ça a été presque miraculeux, l’impression de redevenir « normale ». Les inconvénients de «règles naturelles» étant bien moins pénibles que les inconvénients de la pilule. Je ne suis plus jamais retournée chez elle. »

AVC pilule diane 35 : "personne n'a voulu le reconnaitre"

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