Stérilet hormonal Mirena / Bayer et négations médicales des effets secondaires
Témoignage et négationnisme du médecin
Témoignage et négationnisme du médecin
NEGATIONNISME
De 1990-93, j’étais incapable de travailler en raison de troubles physiques, des tests, des traitements et des interventions chirurgicales. Le reste de la décennie était un mélange d’incapacité de travail, travail à temps partiel, de congé de maladie et d’épuisement permanent. Depuis 1999, j’ai été à nouveau absent du travail pendant deux ans. Après que j’ai essayé de retourner au travail à temps partiel a augmenté de problèmes gastriques, hospitalisations fréquentes et épuisé un congé de maladie m’a forcé à la retraite invalidité permanente en 2003.
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"les laboratoires savaient que les antidépresseurs provoquaient des suicides depuis le début des années 80"
Le négationnisme caractèrisé
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La majorité des résultats des essais cliniques américains seraient biaisés : Ce sont les conclusions d'une étude publiée dans le Journal of American Medical Association
Médicaments : des falcifications massives d'essais cliniques !!
Et pas qu’un peu. Entre avril 2005 et juin 2009, les biologistes désignés comme responsables d’essais cliniques étaient tout simplement… absents de leur labo, au moment où ils étaient pourtant censés mener les tests. Peut-être se doraient-ils la pilule sur une plage exotique (plutôt que de la tester) ? Une étrange situation qui s’est reproduite 1900 fois ! En plus de cette "falsification généralisée", la FDA estime aussi que Cetero a modifié a posteriori les résultats de ses études pour parvenir à la bonne conclusion : que le médicament évalué était sacrément efficace et sans danger.
"Les fautes relevées sont suffisamment graves pour susciter des préoccupations quant à l’intégrité de toutes les données générées par Cetero sur cette période de cinq années" a affirmé mardi la FDA dans un communiqué, avertissant par là même les fabricants de médicaments qu’ils pourraient avoir à refaire les études de Cetero intervenues entre avril 2005 et Juin 2010. Même conclusion du côté de l’auditeur indépendant mandaté par la FDA : "Si le laboratoire est corrompu, les données générées le seront aussi".
les essais cliniques réalisés par l’industrie sont biaisés, truqués, mensongers, masquant les dangers, amplifiant les effets positifs
"Un système au mieux incompétent, au pire corrompu par l’industrie pharmaceutique
Les auteurs fustigent un système gangréné par « le laxisme, la démagogie, l'incompétence et la corruption"
La moitié de ce qui est écrit dans la littérature médicale est peut-être faux – Dr. Richard Horton, rédacteur en chef du Lancet
« Il n’est, tout simplement, plus possible de croire une grande partie des résultats des recherches cliniques qui sont publiés, ni de nous fier au jugement de médecins fiables ni aux recommandations médicales faisant autorité. Cette conclusion ne me fait pas plaisir et c’est une conclusion que j’ai atteint lentement, après deux décennies en tant qu’éditrice en chef du New England Journal of Medicine ».
Cancer : études bidons, scientifiques douteux, médocs dangereux…
En quelques mois, trois informations majeures sont venues jeter le discrédit sur toute la filière pharmaceutique – et cancérologique en particulier :
1/ La plupart des études scientifiques portant sur le cancer… sont bidons !
2/ L’Université de Harvard impliquée dans une fraude scientifique
3/ Des médicaments contre le cancer… qui favorisent le cancer !
les « preuves » sur lesquelles on se fonde pour nous prescrire des médicaments sont couramment biaisées. Les risques sont cachés par les laboratoires
Des études cliniques biaisées
Les pharmas font souvent plusieurs séries de tests, mais excluent les séries dont les résultats ne sont pas positifs. Donc, si dix séries de tests ont été effectuées, il se peut que l’étude publiée et soumise aux régulateurs ne présente les résultats que de trois ou quatre d’entre elles. Par exemple, pour le reboxetine, sept séries de tests ont été faites, mais seulement une a été rendue publique et publiée dans un journal académique. Les six autres sont demeurées dans l’ombre, inaccessible, même si leurs résultats ne montraient aucune amélioration face au placebo.
Les conséquences négatives des « données manquantes » ne s’arrêtent pas à l’évaluation de l’efficacité ; elles concernent aussi la sécurité des patients. Dans les années 1980, un médicament contre l’arythmie cardiaque, le lorcainide, fut testé auprès d’une centaine d’hommes ayant subi une attaque cardiaque. Le taux de décès fut 9 fois supérieur chez les candidat ayant pris lorcainide que ceux qui ont pris le placebo. L’étude ne fut jamais publiée et les résultats sombrèrent dans l’oubli. Pourtant, à la même époque, les médecins ont commencé à systématiquement prescrire des médicaments anti-arythmie aux gens ayant subi une attaque cardiaque, par mesure de prévention, sans savoir qu’une étude avait démontré que c’était dangereux. Résultat : environ 100.000 personnes sont mortes avant que l’on ne se rende compte que c’était une mauvaise idée. Ces morts auraient pu être évitées si l’étude sur lorcainide avait été publiée.
Vioxx (40 000 morts aux USA) : malgré la condamnation du laboratoire a indemniser pour 5 milliards de dollars, les victimes aux USA, les experts français déclarent que c'est un bon médicament qui ne pose aucun problème !
Et pourtant !
Effets secondaires du vaccin gardasil et négationnisme de l'agence européenne du médicament
Les traitements (de l'industrie du cancer) ne servent à...pas grand chose
Les victimes meurent en particulier des complications du traitement (de l'industrie du cancer) du cancer de la prostate