Témoignage victime gabapentine / neurontin horreur et négationnisme systématique, habituel, des médecins : " J ' ai été transféré dans un hôpital psychiatrique Mais je devais maintenant être confronté à un nouveau traumatisme. On m'a continuellement dit que mes symptômes ne pouvaient pas provenir de la gabapentine puisqu'il aurait été, depuis longtemps, hors de mon système. J ' ai été diagnostiqué comme gravement déprimé et j'ai été menacé d'être obligé de prendre des antidépresseurs. Par peur d'être retenu et forcé de prendre les médicaments, j'ai concédé à prendre Cymbalta, mais quand j'ai signalé la sensation de brûlure encore plus, on m'a dit que j'étais délirant."
"25 % de tous les implants en silicone se brisent en 10 ans et la fuite de gel se produit tous les jours, combien de femmes ne sont pas au courant de ce qui se passe dans leur corps ? Et quand elles ont des problèmes ou BII et demandent de l'aide, elles ne sont pas cru"
"Mais même si elle perdait progressivement sa jambe, Roes a été informée que la cause de sa douleur était principalement psychologique, se souvient-elle. «Personne ne m'a jamais écouté, ni regardé ni fait de biopsie»"
"Aucun medecin n'en doute la existence d'un syndrome de sevrage des benzodiazépines qui a été démontre à répétition dans les études. Mais tous les symptômes décrit par les patients dans les vidéos ne sont pas compatibles avec un simple syndrome de sevrage et d'autres pathologies sont à suspecter.
Si vous avez du mal à arrêter vos benzodiazépines il ne faut pas penser que tous vos symptômes sont forcement en relation avec les benzodiazépines. J'encourage tout patient avec des symptômes handicapants durant un sevrage médicamenteux de faire un bilan médical et psychiatrique complet afin de ne pas passer à coté d'une autre pathologie."
demander la reconnaissance du syndrome de sevrage prolongé aux benzodiazépines, affection multiforme et extrêmement invalidante, et sa prise en charge par l'assurance maladie ; informer et sensibiliser les médecins prescripteurs à cette maladie iatrogène d'une extrême gravité ; demander au législateur la mise en place d'un fonds d'indemnisation des victimes des benzodiazépines.
Beaucoup de ceux qui se retirent subissent des souffrances inimaginables et certains sont laissés en permanence endommagés par le cerveau (voir les récits personnels dans ce document). Ces dommages au cerveau ne seront pas diagnostiqués comme attribuables aux médicaments. Au lieu de cela, les patients souffrant de handicaps graves sont informés que leurs symptômes sont attribuables à la «dépression» ou à «l'anxiété» ou à un autre problème de santé mentale.
En France les syndromes prolongés de sevrage étant niés par les médecins, par facilité, quelque fois sur ordre, de rares fois par ignorance, dans le but de continuer a empoisonner un maximum de victimes, ils identifient les symptômes de sevrage aux psychotropes non pas comme tel mais comme une autre maladie : dépression, fibromyalgie, syndrome des jambes sans repos, syndrome de fatigue chronique, phobie sociale, bipolarité,et autres maladies psychiatriques divers afin de vous empoisonner avec : ... d'autres drogues psychiatriques (souvent encore pire que les premières) !!
avec la schizophrénie, la dépression et d'autres maladies psychiatriques. Ils sont souvent fortement médicamenter avec antipsychotiques, antidépresseurs, ou replacés sur leur benzo. Certains médecins incultes prescrivent Lyrica et Neurontin pour l'anxiété pendant le retrait. Ces médicaments agissent sur les mêmes récepteurs que benzos, et ne sont pas recommandés. L'alcool, la racine de valériane, le kava et devrait être évité aussi bien pour les mêmes raisons. Certains médecins prescrivent des antipsychotiques, cependant, ils n'aident pas lors d'un sevrage de benzo et peuvent aggraver les symptômes de sevrage pire.
Un spécialiste de la toxicomanie m'a dit un jour que personne ne pouvait devenir accro à Ativan (une benzodiazépine) à moins d'avoir pris ce médicament pendant plus de deux ans. C'est un mythe complet.
" Je dois dire que ma mère qui prenait du temestat depuis des années aussi a eu un nouveau medecin qui a décidé de la sevrer trop rapidement, elle s'est retrouvé aux urgence en état de confusion mentale, et ils ne lui on pas donné son temesta, 24h après elle a fait une grosse crise d’épilepsie et s'est retrouvé dans le coma.
A son réveil, elle ne reconnaissait plus personne, et ça a duré 2 mois, pendant ces deux mois, j'ai bassiné les medecins en leur disant que je savais qu'elle avait réagit à un sevrage trop rapide des benzos, aucuns ne m'a prise au sérieux. Ils y sont aller de diagnostique de possible Alzheimer, Parkinson, les deux ensembles aussi, une forme atypique de démence sénile, enfin, j'ai passé 6 mois a me battre contre eux et ma mère s'est retrouvé avec une sonde pour pouvoir manger car elle ne pouvait plus déglutir, les muscles inexistants car elle ne pouvait plus bouger, c'était horrible."
benzodiazépines = l’enfer sur ordonnance! oui plus dur à sevrer que l’héroine et le crack!! omerta et déni des charlatans des pseudo médecins; tous les symptomes que décrivent le professeur Ashton une trentaine!! je les ai!! un vrai martyr je suis torturée dans mon cerveau et mon corps et ça dure!!! ça n’en finit pas!! torturée comme un animal de laboratoire je vacille entre le désespoir et l’envie de suicide tellement je souffre un martyr sans nom et cet écourant déni des « médecins » qui vous accusent en plus d’être de sales drogués par contre ils sont plein de compassion pour les héroinomanes; lésions dans le cerveau et le corps parfois irréversibles et on ose appelés ces trucs diaboliques médicaments!! si j’avais su j’aurais plutot pris de l’héro de la coke et de l’alcool et ça fait tres longtemps que j’en serais sortie sans ces souffrances de torturée et sans lésions!! c’est un grand génocide qui passe inaperçu car oui j’ai été conne de faire confiance à ces charlatans assassins et crétins de docteurs!! il ne reste plus que Dieu pour guérir ce qui humainement est inguérissable!! je n’aurais jamais imaginé qu’on puisse autant souffrir c’est comme être torturé par les nazis avec leurs expériences sur les détenus!! salopards de pseudo médecins charlatans qui ne connaissent rien au cerveau et aux chimistes de big pharma qui eux sont carrément satanistes, savent tres bien quelles molécules qui détruisent tout en ayant ouvert la boite de pandorre!!
Malgré la documentation écrasante sur le syndrome de sevrage prolongé des benzodiazépines dans la littérature médicale moderne scientifique et occidentalisée, la plupart des professionnels de la santé ignorent (ou refusent de croire) que le PWS peut et se produit avec divers médicaments psychiatriques, dont les benzodiazépines.
demander la reconnaissance du syndrome de sevrage prolongé aux benzodiazépines, affection multiforme et extrêmement invalidante, et sa prise en charge par l'assurance maladie ; informer et sensibiliser les médecins prescripteurs à cette maladie iatrogène d'une extrême gravité ; demander au législateur la mise en place d'un fonds d'indemnisation des victimes des benzodiazépines.
DENI DES MEDECINS
"j'ai effectué un sevrage trop rapide...je pensais que peut-être mes symptômes était dus aux sevrage des benzodiazépines, mais on m'a dit que ce n'était pas possible, car les symptômes de sevrage ne duraient que quelques semaines"
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LE SYNDROME PROLONGE DE SEVRAGE AUX BENZODIAZEPINES DOIT ËTRE RECONNU !
Mensonges, foutaises, dénis pour vendre leurs poisons immondes et NEGATIONNSIME des médecins
Une étude épidémiologique menée à Leeds a montré qu’environ 10% des patients traités pour une dépression ou de l’anxiété cachent un trouble bipolaire non-diagnostiqué.
qui ont subi des épisodes maniaques qui pourraient être diagnostiqués comme bipolaire, les avaient en réponse directe aux stimulants ou antidépresseurs-surtout les nouveaux antidépresseurs à partir avec le Prozac.
En dépit des preuves claires fournies dans des livres comme Anatomie d’une épidémie par Robert Whitaker, il est pas encore bien reconnu par les médecins ou les patients que ce problème et d’ autres sont iatrogéne (induite par le traitement).
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« Les antidépresseurs provoquent la fibromyalgie, la psychose, la manie, Alzheimer, suicide, violence, dépression, anxiété, panique, l’alcoolisme, les meurtres, les meurtres de masse, avortement spontané….. «
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Ils font passer les effets secondaires des médicaments ou de sevrage, pour une nouvelle maladie ou une aggravationde la maladie initiale
DMS5 : LA GRANDE ESCROQUERIE (on vous invente la bipolarité de type3 et des tas d'autres maladies)
1)"Une amie est restée paralysée des 2 bras. L'hôpital lui dit pas de rapport ! C'est lié au choc affectif ( deuil du père janvier)"
2)"j'ai fait une thrombose à l'oeil droit après le premier vaccin astra zénéka .
il m'est actuellement impossible de savoir si cette thrombose est causée par le vaccin ou par une autre cause.
les médecins semblent retenir les informations ou bien ne savent pas !!!
après 2 jours d'hospitalisation je dois subir un traitement très
douloureux pour récupérer ma vision . le même que pour la DMLA , piqûres dans l'oeil d'un produit extrêment cher .
j'aimerais connaître un certain nombre de personnes atteint par toutes sortes de thromboses après vaccins.
quelles sont les causes reconnues ou supposées ?
pour ma part après le vaccin ma tension a commencé à s'élever graduellement dans les 8 jours après l'injection. puis j'ai eu des maux de tête insupportables , ma pression artérielle était à 25/12 à l'arrivée à l'hôpital. j'y suis restée 2 jours pour examens"
3)"J'ai fait ma 1ere injection le 27mars (Pfizer) trois jours après ,j'avais la main enflée et paralysée jusqu'au poignet ,impossible de m'en servir pendant 8 jours ! J'ai vu 2 médecins ,verdict: grosse tendinite ou arthrose.
J'ai fait le 2eme vaccin le 24avril,le lendemain méga rhinopharyngite avec une toux à étouffer....pas vu de médecin ,mais pris un sirop à base de plantes...
Depuis ,ma tension fluctue , mon diabète est déréglé, j'ai mal aux jambes avec parfois gonflement des chevilles , et une fatigue permanente !! Je n'ai jamais eu ces problèmes auparavant ! Mais ce n'est pas dû au vaccin paraît-il !! Les différents médecins vus pour mon suivi annuel, zappent mes doléances ( radiologue, chirurgienne, médecin traitant etc ....) Comment faire et à qui s'adresser ?"
4) "Ma belle fille 21 ans une heure après le vaccin symptome AVC 3 jours après tjrs pas de sensation😭😭😭 mais les medecins ne veulent pas faire le lien avec l injection.."
5) Bonjour, en 2020 ma belle mère était en maison de retraite. Elle a été comme beaucoup vaccinée, de forte corpulence et diabétique elle aura succombe au vaccin 10 jours après l'injection. Bien évidemment on nous a dit au urgence que rien ne permettait de faire un lien entre la vaccination et le décès.
5)Ma tante, 72ans. Covid en février 2020 , 4semaines d hospi. diagnostiqué en avril 2020...
Rechute en novembre 2020, aucun soignant n a voulu aller à domicile ! 5j d agonie les pompiers sont venus : covid. Hospi 1 mois.
Depuis covid long, aucune prise en charge spécifique, douleur aux psoasses...
Juillet 2021 : vaccin. 10 j après AVC ... Thrombose.. heureusement elle se rendait chez sa fille quand la crise fut exacerbée, conduite direct à l hôpital. hospitalisée depuis . Rdv cardio, neuro... Elle est toujours hospitalisée ! Mais c est pas le vaccin selon les médecins !
6)"Je fais ce témoignage pour ma grand mère qui s’est faite vacciner Pfizer à 85 ans. Le lendemain de la deuxième injection elle a été transférée aux urgences pour suspicion d’AVC, elle est décédée dans les heures qui ont suivies de plusieurs caillots au cerveau et d’une septicémie.
Évidemment pour les médecins, aucun rapport avec le vaccin... alors qu’elle était en parfaite santé avant."
6)"Ma belle-mère 68 ans est décédée 5 jours après son injection (vaccin jansen 1 seule dose). Trombose qui a entraîné un infarctus massif. Elle ne voulait pas le faire et avait très peur des conséquences sur sa santé. Mais à cause des annonces gouvernementales, à elle a préféré le faire pour ne pas être bloqué pour ses examens médicaux à l hôpital à la rentrée. C était une personne très dynamique, elle faisait un peu d hypertension mais était en pleine forme. Bonne alimentation, ne fumez pas, rando toutes les semaines. Elle a un ami qui est décédé dans les mêmes conditions avec Pfizer. Une de mes collègues vient de perdre son frère de 50 ans d une crise cardiaque 4 jours après la deuxième dose Pfizer.
Au moment du décès de ma belle mère, son mari qui est médecin (et qui a été médecin lesgiste) a souhaité que figure sur l acte de décès en dessous de la cause "infarctus massif" qu elle avait reçu une injection quelques jojrs avant.. le médecin du samu a refusé et a dit qu il n y avait aucun lien possible et qu il n e pouvait pas le faire.. je ne dirai rien de plus.."
7)"Il me conseille de faire la 2ème dose... (je ne suis pas folle ! ). 2 mois plus tard je vais voir un 2ème cardiologue, qui ne me laisse même pas finir de parler et, en fuyant mon regard, me dit "il n'y a pas de lien de causalité avec le vaccin". Là j'ai compris qu'ils avaient tous été formatés... qu'ils devaient nier l'évidence et vacciner un max.."
8)"Je suis infirmière anesthésiste, j’enrage de voir ces complicités passives en faveur des lobbys pharmaceutiques sous la protection de Macron ! Combien de nos jeunes vont-ils sacrifier pour se faire du fric au lieu de développer les thérapeutiques ?"
9) "Ma nièce a perdu le père de ses 3 enfants dont le dernier qui a seulement 10mois ,d'un infarctus une semaine après avoir eu sa première dose de vaccin il a avait 43 ans et on lui a dit bien-sûr que ça n'avait rien à voir avec le vaccin.moi j'ai fait une poussée de tension plus de 20 deux j après ma première dose et depuis je dois prendre double dose de médocs plus un troisième mais c'est pas le vaccin bien sûr.ma fille en rentrant de sa première dose a eu un rétrécissement de son champ de vision et migraine.mon père a été transporté à l'hôpital parce que son coeur s'afaiblissait et ses pieds étaient gonflés 15 j après sa première dose.mon mari a eu des migraines ophtalmique .et on nous dit qu'aucune personne n'est hospitalisé à cause du vaccin ils se foutent de nous."
10) "Bonjour, ma petite soeur de 17 ans avait témoigné de ses importants effets secondaires dus à la première dose il y a peu sur le premier groupe.
Son médecin lui a fourni un certificat pour lui éviter la seconde dose et obtenir son pa$$ pour l'école etc...
Rejeté au centre de vak par un médecin chef qui leur a dit que c'était irrecevable et qu'il n'était pas étonné du médecin prescripteur car ce dernier est un incompétent!😣😣😣
Elle a tout de même fait la deuxième avant de partir en vacances jeudi.😣
Partie vendredi et vendredi soir, choc anaphylactique et hospitalisée d'urgence!
Sous perf pour réduire les oedèmes. Ma mère m'a dit qu'elle ressemblait à un éléphant, elle qui doit peser 45kg...
Juste comme ça, si pas de prise en charge urgente, cette réaction peut conduire à la mort en quelque minutes...
L'hôpital lui à dit que c'est dû aux piqûres de moustique"
11) "Mon oncle a eu les deux doses de P****. Suite à des douleurs extrême au niveau du dos et du ventre, il s’est rendu aux urgences. Il s’agissait d’une pancréatite aiguë. Il avait déjà un cancer du pancréas en rémission depuis plus d’un an, qui a ce jour a récidivé en forme grave à cause de cette pancréatite, alors qu’avant ça il se portait très bien. Aujourd’hui il a perdu plus de 30 kg. Ils ne diront jamais que la cause est le vac***"
12)"Mon fils après injection de la deuxième dose du vaccin pfizer, à du être conduit aux urgence où il a été hospitalisé pour une myopericardite.
Il est actuellement en arrêt maladie pour 4 mois. Il est sous traitement et devra retourner au CHU dans 3 mois.
L'hôpital nie le lien avec le vaccin
J'ai beaucoup, beaucoup de mal à les croire !!!!"
13) "Bonsoir à tous, aujourd'hui j'étais chez une cliente qui est aide soignante ,elle a donc fait le vaccin ,elle a eu deux thromboses et hémorragies vaginales, aucun médecin n'accepte que ça vienne du vaccin car les effets sont arrivés6 semaines après deuxième injection 🙄 je précise qu'elle a 32 ans et est en parfaite santé....
14) "
Bonjour, je vais vous raconter l'histoire de mon frère, car tous les médecins lui disent que tout ce qu'il a est psychologique je n'y crois pas une seconde.
Il a 25 ans, n'est pas du genre à rester en place, et a une super santé (pratiquement jamais malade)
Une semaine après avoir fait le 2eme vaxx Pf..er il s'évanouit. Son coeur s'emballe tout seul (a n'importe quel moment) il se sent essoufflé et a des vertiges et des pointes au cœur. A un tel point qu'en une semaine à il a finit 2 fois aux urgences.
A chaque fois toutes ces analyses et ces examens ressortent correct, on lui dit que c'est psychologique...
Ça va faire 2 semaines maintenant et il ne peut toujours pas se lever (et donc pas travailler). A cause de ça il a donc prit 3 semaines de "congés"
Je suis sûre que ça vient du vaxx mais personne ne me croit puisque les professionnels de santé disent que non."
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Depuis le début de la crise du Covid, des publications sur les réseaux sociaux établissent un lien erroné entre la vaccination et l’augmentation de cas de cancers très agressifs. On vous explique pourquoi il ne faut pas s’inquiéter.
« Dans l’histoire de la psychiatrie il y a une très vielle habitude d’ignorer les effets néfastes des médicaments ou de les attribuer essentiellement à la maladie sous jacente et ainsi de blâmer le patient plutôt que de blâmer la drogue »
C’est une accusation tout à fait déplacée que d’y voir l’intention d’ouvrir la voie à l’euthanasie déguisée des personnes âgées résidant en maison de retraite ou en EHPAD
Des panneaux affichant les différents procès intentés aux laboratoires pharmaceutiques, des portraits d’hommes et de femmes, « victimes de la vaccination anti-covid ». Ce samedi 13 mai 2023, comme dans de nombreuses grandes villes en France, un rassemblement était organisé par des citoyens en hommage « aux victimes des vaccins covid ». « On ne parle pas que des morts, mais aussi de celles et ceux qui subissent, encore aujourd’hui, les effets secondaires graves des vaccins », précise Rémi, l’un des manifestants.