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LE NEGATIONNISME MEDICAL
20 juillet 2019

Implants Essure : "Il y avait un déni" des médecins / Déni et NEGATIONISME

J'ai fait une batterie d'examens et certains m'ont dit que toutes les douleurs étaient dans ma tête, que je devais aller voir un psy. Mais je connais mon corps, je sais que je ne suis pas folle

Elle a vu 50 médecins et aucun n'a accepté la responsabilité d'essure

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18 juillet 2019

AAAVAM : Le NEGATIONNISME dans cette association qui, en principe, devrait défendre les des victimes des médicaments

"AAAVAM et georges alexandre Imbert : Dangers publiques et /ou agents de BIG PHARMA ?

Voici le message se trouvant sur la page facebook de Georges Alexandre Imbert :
https://blogs.mediapart.fr/…/fake-news-sur-les-antidepresse…

"Fake News ! sur les antidépresseurs !

Avec plus de 6000 témoignages concernant les effets indésirables des anti-cholestérols (Statines), notamment celles du Laboratoire Allemand Bayer®, et après que notre Association ait suivi les victimes depuis le retrait du Staltor® Baycol® Cholstat® en août 2001, les interventions de « Prévention » des Professeurs Debré et Philippe Even concernant cette classe de médicaments étaient de bonnes mesures pour la Santé Publique.

Toutefois, leur nouvel ouvrage et surtout la prise de parole le 6 septembre 2018 sur la 5ème chaîne de télévision par le Professeur Debré a été d’une effroyable dangerosité, en effet, ce médecin comme beaucoup de ses confrères confond les antidépresseurs et les anxiolytiques !

Depuis la création de l’AAAVAM en 1992, avec un nombre important d’émissions de radio et de télévision, de reportages dans la presse, aucun témoignage concernant des actes de violence contre soi-même ou autrui pouvant être validés à la suite de prescriptions d’antidépresseurs en monothérapie, n’a été enregistré et transmis à la pharmacovigilance par l’AAAVAM !

Par contre nous avons reçu des centaines de témoignages parfois validés concernant des passages à l’acte (suicides, abus sexuels, crimes, accidents du travail, de la circulation et d’aviation) sous l’empire des anxiolytiques (tranquillisants ou somnifères de la classe des Benzodiazépines et apparentés comme le Stilnox®), ordonnés en monothérapie.

PRÉVENTION : Il ne faut pas ordonner d’anxiolytiques à un patient suicidaire, dépressif ou psychotique, ces psychotropes sont uniquement réservés à contenir des cas d’anxiétés et des cas de delirium tremens. (RCP Vidal®)

Pour les médecins prescripteurs confondre ces classes de psychotropes (neuroleptiques, anxiolytiques, antidépresseurs), avec leurs effets néfastes ou recherchés par les psychiatres est affligeant, des milliers de morts par mésusages chaque année pourrait être évités avec une meilleure formation en pharmacologie."

Or depuis plus de 30 ans, de grand spécialistes se battent pour faire connaitre les dangers des antidépresseurs (dr ann Blacke Tracy, prof peter Breggin.... et aujourd'hui, les profs peter Gotzsche, philippe Even....), les informations sont partout sur internet depuis plus de 15 ans, les témoignages sont partout, des livres en français sont publiés en nombre....La revue prescrire demande l'interdiction de la plupart des antidépresseurs, alors que le prof peter Gotzsche en demande quasi l'interdiction.
Aussi, il est impossible que ce président d'association, qui se voudrait défenseur des victimes des médicaments ne soit pas au courant !
Bien qu'il ne semble pas bien connaitre, du tout, les effets secondaires des psychotropes, malgré ses 27 ans d'expérience, selon lui, je me pose vraiment la question de savoir si ce monsieur et / ou son association ne sont pas au service de BIG PHARMA ????
Non seulement l'aaavam, ne lance aucune alerte sur les antidépresseurs, ce qui devrait être son rôle, mais elle les défend !

Si la politique de cette association est valable dans certains cas, c'est certain : "Notre Association, privilégie les résolutions amiables des accidents liés aux médicaments, plutôt que des procédures juridiques toujours longues et pénibles pour des malades", pourquoi, seules les autres associations font parler des scandales sanitaires, alors que la présence de l'aaavam est presque quasi inexistante dans les médias depuis 27 ans.

Je rappelle que l'aaavam refuse qu'il y ait des contacts entre les membres de l'association : une vraie dictature !

Beaucoup de question que devrait se poser les victimes avant de s'adresser à cette association, non ?"

https://www.facebook.com/stopmedtorture/posts/899091333758955?__tn__=K-R

 

Le drôle de jeu de M. Imbert
Le 13 janvier 2011 à 07h00
http://www.leparisien.fr/societe/le-drole-de-jeu-de-m-imbert-13-01-2011-1224874.php

Georges Alexandre Imbert, président de l'Association d'aide aux victimes des accidents de médicaments (Aaavam) était-il totalement désintéressé lorsque lundi dernier dans nos colonnes il réclamait des négociations « à l'amiable » avec le laboratoire Servier afin d'obtenir des indemnités pour les victimes du Mediator? Beaucoup en doutent et le soupçonnent d'être en conflit d'intérêt. Selon nos informations, l'association Aaavam, qui traite actuellement 1000 dossiers de victimes du Mediator, réclame des commissions à chaque patient qu'elle défend. En clair, un pourcentage sur les indemnités que percevra la victime devra être reversé à l'association. Sur le document que nous nous sommes procuré (voir ci-dessus), on peut en effet lire en toutes lettres « l'adhérent donne l'ordre irrévocable au cabinet d'avocats ou aux assureurs chargés de régulariser la transaction de virer au compte bancaire de l'Aaavam 5% du montant de l'indemnité allouée au titre du dédommagement ».

Une « proximité » avec Servier

Concrètement, si les mille dossiers défendus par l'Aaavam se soldent en moyenne par 100 000 â?¬ d'indemnités chacun, l'association empochera 5 millions d'euros. Une pratique qui fait bondir l'UFC Que choisir. « Ce ne sont pas des pratiques acceptables. Tout le montant du préjudice doit aller aux victimes. Les associations doivent être financées par leurs cotisations », nous déclare son président, Alain Bazot. Au contraire, pour sa défense, Georges-Alexandre Imbert, le président de l'Aaavam, nous indique « qu'il ne touche pas un centime personnellement sur ces transactions. Mais on a besoin d'un peu d'argent pour les frais de procédures, de déplacement et de secrétariat ».

Les autorités sanitaires travaillent avec cette association, et le numéro vert mis en place depuis le début de l'affaire renvoie vers trois associations de patients, dont l'Aaavam. « Le problème, c'est que M.Imbert a une relation privilégiée avec Jacques Servier, qui le manipule, peut-être à son insu », accuse un avocat. Georges Alexandre Imbert s'en défend, mais il admet une « proximit? avec lui, depuis un drame qui les unit. Isabelle Servier, fille du patron du labo, a en effet tué son mari le 18 décembre 1999, et elle a bénéficié des circonstances atténuantes car le tribunal a estimé qu'elle avait agi sous l'emprise d'un médicament de la classe des benzodiazépines, produit par la firme suisse Roche. « Isabelle Servier avait rejoint mon association avant son procès. Sur le conseil de l'avocate de Servier, j'ai effectivement été cité comme expert à son procès, et j'ai dénoncé le danger de ces médicaments. Si cela a pu l'aider, j'en suis fier », explique-t-il. Georges Alexandre Imbert a également connu un drame similaire : le °°°°°°° de son fils par défenestration après la prise de la même classe de médicaments. Une blessure à l'origine de son combat contre les médicaments dangereux.

18 juillet 2019

Déni et NEGATIONISME : Stérilet hormonal Mirena / Bayer et négations médicales des effets secondaires

Sous stérilet hormonal, certaines femmes ressentent des symptômes dépressifs. Et quand elles le disent ? On ne les prend souvent pas au sérieux.
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C'est peut-être le début d'un scandale sanitaire mondial, avec des milliers de plaintes en Espagne, aux Etats-Unis, contre les effets secondaires délétères du stérilet hormonal Mirena. En France, des témoignages arrivent par centaines chaque jour sur Internet, alors que l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé commence à reconnaître les effets secondaires du contraceptif des laboratoires Bayer.
Moi, mon médecin gynécologue a complètement nié ce que j'avais, à la limite de me traiter de folle.
"J'en ai parlé à une visite de contrôle chez la gynécologue, dix huit mois après l'apparition des symptômes, ça faisait donc trois ans que j'avais le Mirena. Ma gynécologue a complètement nié le phénomène et s'est quasiment moquée de moi".
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Négationisme des médecins : Témoignage

Négationnisme : le médecin a répondu qu'il n'y avait pas de lien

Témoignage et négationnisme du médecin

1 juillet 2019

Négationnisme des médecins et horribles symtômes de sevrage aux neuroleptiques

« si le sevrage des neuroleptiques vous rend tellement malade que vous allez aller à l’hôpital… de nombreuses personnes signalent que les hôpitaux nient le fait que les neuroleptiques soit à l’origine de cette réaction horrible. C’est aussi ce qui m’est arrivé. »
 
Ils font passer cela comme une rechute : c’est faux, les preuves.
 
Les symptômes de sevrage sont souvent diagnostiquée à tort comme un retour de la maladie ou le début d’une nouvelle, pour lesquelles les médicaments sont alors prescrits. Au fil du temps, cela conduit à une augmentation du nombre de toxicomanes, à long terme

1 juillet 2019

Androcur et NEGATIONNSIME DES MEDECINS

Ca faisait deux ans que j’avais des symptômes que mon médecin n’a pas écouté. Mais des années que ma personnalité avait changé, et j’ai vu un psychiatre et deux psychologues pour ça, sans succès bien sûr. J’avais des crises d’angoisse terribles, la sensation de perdre le contrôle constamment, et une fatigue de plus en plus importante.
Le premier « vrai » symptôme, qui aurait pu faire penser à une atteinte neurologique, a été deux ans avant la découverte des tumeurs la perte de force dans la jambe droite. Je disais « de temps en temps, cette jambe ne me porte plus ». Mon médecin traitant m’a dit de faire du sport. Ensuite, il y a eu les mots de tête épouvantables. Verdict du médecin traitant : céphalées de tension. Puis l’écriture qui se déforme, la parole qui devient de plus en plus difficile, la perte de sensibilité à droite de la bouche, les troubles visuels (je ne supportais plus l’écran de l’ordinateur), les arrêts respiratoires de quelques secondes.
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« Un deuxième professeur de gynécologie puis un troisième professeur confirmeront ce traitement. J'insiste sur le terme, car on parle de grands médecins qui, malgré les alertes de méningiomes depuis 2007, n'ont pas réagi »,
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1 juillet 2019

Principes des addictions psychiatriques, Neurotoxiques, Neurotoxines et négationnisme médical

Principes des addictions psychiatriques11. Les médecins qui prescrivent des interventions biopsychiatriques ont en général une estimation irréaliste des risques et des bénéfices du traitement. Les interventions biopsychiatriques sont fondées sur le principe du “désemparement et déni iatrogènes” (iatrogenic helplessness and denial, IHAD). Il se réfère au mécanisme qui fait que le patient perd, par la façon dont le traitement est appliqué et par l’effet chimique ou neurologique du traitement, toute capacité d’évaluation de ses réactions, du handicap créé par le traitement, et des assertions du médecin. « Le psychiatre biologique utilise des techniques connues d’autorité et impose des traitements destructeurs du SNC pour obtenir un désarroi et une dépendance accrus du patient. » La IHAD implique le déni de la part et du médecin et de la part du patient des dommages créés par le traitement, tout autant que des réels troubles psychologiques et contextuels présents. La IHAD rend compte de la fréquence avec laquelle les traitements par techniques destructrices du cerveau sont utilisés en psychiatrie: électrochocs, psychochirurgie, et médication toxique. Le fait que le traitement détruit des fonctions cérébrales amène la soumission du patient par le biais de la perte de fonctions essentielles telles que la vitalité, la volonté et le raisonnement. Le déni vise non seulement la destruction des fonctions essentielles chez le patient, mais aussi le fait que ses problèmes psychologiques continuent. Ce déni est assorti de confabulation [procédé commun à toutes les addictions avec produit. [le déni est un procédé de défense archaïque (stade oral-anal)]]. Traitement biopsychiatrique = création d’un dommage cérébral plus ou moins permanent et irréversible

Le problème de la psychiatrie moderne est que l'utilisation de ce mot de crainte, neurotoxine, au moins l'hypothèse naïve dénoue ou frauduleuse que les médicaments psychiatriques sont relativement sûrs et qu'ils font plus de bien que de mal. Accepter que tous les médicaments psychiatriques sont neurotoxines fait toutes les demandes ridicules au sujet des drogues psychiatriques « corriger les déséquilibres biochimiques », « améliorant les neurotransmetteurs », ou « le traitement des maladies. » Lorsque vous prenez une neurotoxine à des doses suffisantes pour changer visiblement la vie mentale et du comportement humain, il y a peu ou aucune chance que les avantages dépassent les risques, même à court terme, et il y a une quasi-certitude d'un certain degré de préjudice persistant après des mois et des années d'exposition.
En appelant neurotoxines des médicaments psychiatriques, nous précisons qu'ils ne sont pas en soi thérapeutique et que leurs effets résultent probablement de nuire à la fonction cérébrale. Sur la base de ce que nous savons neurotoxines en général, de gaz neurotoxique aux médicaments antipsychotiques, les appelant neurotoxines devraient, au moins, nous faire méfier des catastrophes toxiques potentiels et presque inévitables effets néfastes irréversibles à long terme.
 
Les symptômes de sevrage sont souvent diagnostiquée à tort comme un retour de la maladie ou le début d’une nouvelle, pour lesquelles les médicaments sont alors prescrits. Au fil du temps, cela conduit à une augmentation du nombre de toxicomanes, à long terme.
 
C’est ce qui est dit a la plupart des patiens, mais c’est complètement faux. Nous n’avons aucune idée de ce qui interaction des conditions psychosociales, les processus biochimiques, les récepteurs et des voies nerveuses qui conduisent à des troubles mentaux et les théories que les patients atteints de dépression n’ont pas la sérotonine et que les patients atteints de schizophrénie ont trop de dopamine ont longtemps été réfuté. La vérité est tout le contraire. Il n’y a pas déséquilibre chimique pour commencer, mais quand traiter la maladie mentale avec des médicaments, nous créons un déséquilibre chimique, une condition artificielle que le cerveau tente de contrer.
 
"Dans l'histoire de la psychiatrie il y a une très vielle habitude d'ignorer les effets néfastes des médicaments ou de les attribuer essentielement à la maladie sous jacente et ainsi de blâmer le patient plutôt que de blâmer la drogue" docteur joanna Moncrieff
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Déni et Négationnisme des médecins et labos

1 juillet 2019

Négationnisme des médecins et maladie de lyme / La Borréliose

Il faut savoir qu'en France, en ce début 2017, il y a un véritable négationnisme au sujet de la phase tardive de la maladie de Lyme, dont les "experts" ne veulent absolument pas entendre parler
 
Aux rois de l’obscurantisme, partisans de la Terre Plate, empêcheurs de soigner en rond et accros au mensonge –  oui, vous, la clique infernale et nuisible du CNR Borrelia de Strasbourg; les pseudo-professeurs des CHU de Nancy, d’Orléans, Limoges, Clermont-Ferrand… et tous les autres suiveurs déjà prêts à s’engouffrer dans la brèche et « l’effet de mode » du Lyme, afin de faire se multiplier comme des champignons des pseudo-consultations pluridisciplinaires soi-disant « spécialisées » afin de brasser de l’air et orienter au plus vite les lymés chroniques vers la sortie et surtout vers la psychiatrie !
Vous aussi, les « négationnistes du Lyme », vous couvrirez un jour de honte et de ridicule lorsque la Vérité vous sautera à la gueule, et je vous souhaite bien des nuits sans sommeil, hantées de tous les morts que vous aurez sur la conscience !
 
SIGNER LES PÉTITIONS diffusées sur le net
ADHÉRER AUX ASSOCIATIONS :  voir plus bas
Participer aux différentes actions en justice mises en place par les associations
Écrire aux députés et sénateurs de votre région
Écrire à ceux qui se sont déjà exprimés  sur le sujet (cliquer puis descendre dans la page)Écrire à la Ministre de la Santé : par courrier postal ou via le formulaire en ligne du Ministère.
Acheter le livre de Viviane Schaller : Maladie de Lyme, l'épidémie qu'on vous caché
Acheter le livre de Roger Lenglet et Chantal Perrin : L'Affaire de la maladie de Lyme: Une enquête
Acheter le livre du Pr Christian Perronne : La vérité sur la maladie de Lyme    
Fond de dotation destiné au financement de la recherche sur la maladie de Lyme : IFL - "I for Lyme"
Participer à l'enquête "Tiques et France" -  supervisée par le Pr Perronne - cliquer sur "formulaire principal"  
En parler autour de vous
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Quatorze ans de diagnostics erronés
Le médecin lui parle de maladie auto-immune, lui explique qu’elle souffre d’un déficit immunitaire. Elle accumule les prises de sang, on lui parle de leucémie, de lymphome, de sida. Son état s’améliore vers 2007, mais après une crise de stress, elle rechute. Le tout dure quatorze ans. Aujourd’hui encore, son élocution est difficile.
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Le professeur Christian Perronne dénonce depuis des années le déni autour de la maladie de Lyme chronique. Pour lui, et pour la centaine de médecins qui lancent dans "l'Obs" un appel à la ministre de la Santé, il faut agir. Vite.
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Alors qu’elle se répand dans le monde à toute allure (de l’Asie à l’Amérique du Nord, du Nord de l’Europe à l’Afrique subsaharienne), les autorités françaises restent dans le déni. Le manque de formation sur Lyme de la majorité des médecins entraîne d’innombrables erreurs de diagnostic et de traitement, à l’origine de l’errance médicale des personnes atteintes. Les malades vivent alors l’enfer. Et les rares médecins qui les identifient et les soignent de façon performante font l’objet de représailles au nom de la maîtrise comptable des assurances maladie.
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Pendant combien de temps encore les autorités françaises continueront-elles d'ignorer la Borréliose de Lyme,ses dangers, sa pandémie galopante, l'incurie des autorités médicaleset sanitaires françaises ? Ces autorités qui non seulement pratiquent l'omerta, mais vont jusqu'à nier l'existence de la maladie de Lyme chronique et, plus grave encore, à réprimer durement tout professionnel de santé qui affirme le contraire ?
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Nassera Frugier, assistante sociale à Besançon, dit avoir été injuriée en janvier par un expert hospitalier dijonnais. Une plainte a été déposée ; la justice tranchera. L’incident remet en lumière la violente querelle qui oppose les médecins au sujet d’une pathologie répandue et pourtant niée par la doctrine officielle.
 
C'est dans votre tête !

1 juillet 2019

Espérance de vie et neuroleptiques : Déni et NEGATIONISME :

L'analyse regroupe une vingtaine de résultats de recherches englobant 1,7 million d'individus. L'équipe anglaise en a extrait des fourchettes de perte d'espérance de vie pour les maladies mentales principales. La schizophrénie réduirait la vie de ses victimes de 10 à 20 ans, la bipolarité de 9 à 20 ans, la dépendance à l'alcool ou aux drogues de 9 à 24 ans et la dépression chronique de 7 à 11 ans. En comparaison, l'espérance de vie de gros fumeurs (plus d'un paquet par jour) est réduite de 8 à 10 ans.
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Cette surmortalité s’aggrave de manière continue, alors que l’espérance de vie de la population générale augmente. Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), il y aurait 8 millions de morts prématurées dans le monde liées aux troubles psychiatriques.
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Depuis lors, l’espérance de vie des personnes traitées dans la communauté des centres de santé mentale a plongé à un effroyable 25 ans inférieure à la moyenne. L’espérance de vie a chuté de pas moins de 15 ans depuis 1986. Les indications sont que le taux de mortalité continue de s’accélérer dans ce qui doit être classé comme l’un des pires désastres sanitaires dans l’histoire américaine.
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Un documentaire intitulé « The Dilemma of Psychiatry » a été diffusé sur la chaîne de télévision danoise 1 le 13 mai.
Le documentaire se demande pourquoi l'espérance de vie des personnes qui reçoivent un traitement psychiatrique est de 20 à 25 ans plus courte que celle des personnes qui ne reçoivent pas de traitement. Les questions posées sont entre autres : les psychotropes sont-ils l'une des raisons de la réduction de l'espérance de vie ?
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"Les produits neuroleptiques / antipsychotiques réduiraient l'espérance de vie de 20 ans" (mn 23)

neuroleptiques atypiques : 62000 morts par an

neuroleptiques : 200 000 morts

« les antipsychotiques / neuroleptiques, ne sauvent personne, ils tuent les gens »

Eli Lilly a tué 200.000 personnes avec Zyprexa et ce n'est qu'un seul des neuroleptiques

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Les médicaments psychiatriques sont beaucoup plus dangereux que vous ne l’avez jamais imaginé !
« ..20 ans de vie en moins…Les nouveaux neurolepitques, de deuxième génération, dit, atypiques, sont encore pire que les anciens »

1 juillet 2019

"Le système est complètement pourri, les laboratoires pharmaceutiques achètent tout le monde"

 
Parce que, comme le disent officiellement et dans les mêmes termes l’ONU et les parlements américain et britannique, «l’industrie est une pieuvre infiltrant toutes les instances décisionnelles nationales et internationales, les gouvernements, les grandes administrations, les institutions, les sociétés savantes médicales et les médias». Voilà pourquoi nos commissions d’évaluation tournent en rond, laissant passer des molécules inefficaces et dangereuses alors qu’elles savent que les essais cliniques réalisés par l’industrie sont biaisés, truqués, mensongers, masquant les dangers, amplifiant les effets positifs
 
a notamment déclaré l'ancien ministre du Budget. Jérôme Cahuzac
 
«En 1988, deux ans après la venue des nouveaux antidépresseurs, 78% des gens qui en consommaient faisaient une rechute, contre 23% pour les gens qui suivaient une psychothérapie. Alors oui, il existe des alternatives aux médicaments…»
 
vous ne pouvez pas ignorer que l’affaire Cahuzac n’est que la face émergée de l’iceberg et que les rapports incestueux des décideurs sont fort partagés dans le milieu des premiers cercles du pouvoir. Monsieur Cahuzac, loin d’être une exception représente le mode de fonctionnement de nombreux décideurs. Nous vous le démontrerons si nécessaire, mais vous avez surement conscience comme moi qu’une grenade dégoupillée vous menace et qu’il serait plus raisonnable d’aborder tout de suite ce dossier brûlant avant qu’il n’explose. A moins que vous ne le puissiez ?
 
Aujourd'hui, les objectifs de la politique pharmaceutique et la pratique médicale sont souvent compromise en raison de la corruption institutionnelle - qui est, de pratiques généralisées ou systémiques, habituellement juridiques, qui minent les objectifs ou l'intégrité de l'institution. Dans ce colloque, 16 articles enquêter sur la corruption de la politique pharmaceutique, en prenant chacun un regard différent sur les sources de corruption, comment cela se produit, et ce qui est corrompu. Nous verrons que les propres fins de l'industrie pharmaceutique sont souvent compromises. En outre, le financement de l'industrie pharmaceutique des campagnes électorales et le lobbying biaise le processus législatif qui définit la politique pharmaceutique. En outre, certaines pratiques ont corrompu la recherche médicale, la production de connaissances médicales, la pratique de la médecine, la sécurité des médicaments, la surveillance de la Food and Drug Administration du marché pharmaceutique, et la fiabilité des organisations de défense des patients.
 
A l’époque, Xavier Bertrand est interrogé par la mission le 11 avril 2006. Il est alors Ministre de la Santé. Il aura beau jeu de se dédouaner 4 ans et demi plus tard, espérant nous faire croire qu’il n’était au courant de rien.
 
à peine installé, avec l’argent de l’Etat, il passait commande d’un million cinq cent mille doses de vaccins hépatite B (sans aucun appel d’offre) à ce même laboratoire
 
Ceci est un coup de masse supplementaire dans la destruction du mur du silence et de la corruption de big pharma et des gouvernements vendus, qui empoisonnent le public depuis des décennies… Ces criminels en blouse et cols blancs doivent être traqués et jugés pour les crimes eugénistes commis passés, présents et a venir »
 
pour «blanchiment de fonds provenant d'avantages procurés par une entreprise dont les services ou produits sont pris en charge par la Sécurité sociale». Pour faire simple: il s'agirait d'argent versé par l'industrie pharmaceutique.
 
« La démocratie dans le domaine de la santé n’est qu’une vaste mascarade montée par les politiques »
 
nous demandons la démission du Professeur Daniel Floret comme  président du Comité technique des vaccinations (CTV), en France. Il est en effet en situation de conflits d’intérêts avec les fabricants de vaccins : activités régulières avec Sanofi au sein du groupe « avancées vaccinales » ; participation à des travaux scientifiques avec Bio Mérieux / Fondation Mérieux, GSK et Sanofi ; interventions en formation continue organisées par les laboratoires GSK, Sanofi ; participation à des études cliniques pour Pfizer et GSK… M. Floret travaille aussi avec l’’industrie pharmaceutique au sein du Réseau d’’investigation pédiatrique des produits de santé (RIPPS) et entretient des liens avec le LEEM (syndicat de l’’industrie pharmaceutique). Il est aussi membre de l’’association ACTIV qui met en œœuvre des actions en lien avec le lobby pharmaceutique.
 
"Le financement de la politique par les laboratoires pharmaceutiques est un grand classique"
 
En 1995, les laboratoires Fournier avaient recruté comme directrice Elisabeth Hubert, éphémère ministre de la Santé. Plus récemment, Michel Barnier, actuel commissaire européen au Marché intérieur, ancien ministre des Affaires étrangères et de l'Agriculture, a été vice-président de bioMérieux Alliance de 2006 à 2007. Jacques Godfrain, ministre de la Coopération de 1995 à 1997, siège à la Fondation Pierre Fabre.
Claudie Haigneré, ministre de la Recherche et des Affaires européennes entre 2002 et 2005, est administratrice de Sanofi. Enfin, Nora Berra, secrétaire d'Etat chargée de la Santé de 2010 à 2012, en pleine affaire Mediator, avait travaillé pendant dix ans dans les laboratoires Boehringer Ingelheim (1999-2001), Bristol-Myers Squibb (2001-2006) et Sanofi-Pasteur (2006-2009). Un parcours qui avait incité le ministre Xavier Bertrand à l'écarter pendant la crise du Mediator
Mais les laboratoires n'embauchent pas que des ex-ministres. Les anciens membres de cabinets s'y recasent eux aussi
 
La mise sur le marché de médicaments et leur remboursement sont soumis à des commissions supposées indépendantes. Or, plusieurs mois d'enquête ont permis à Mediapart de découvrir que, pendant des années, des membres éminents de ces commissions (dont un président) ont conseillé secrètement les laboratoires pharmaceutiques. L'affaire, au-delà des questions déontologiques et de conflits d'intérêts, interroge la probité du système sanitaire français.
 
Médicaments : la Haute autorité de santé saisit le procureur
Mardi   24   mars,    nous   révélions   en   effet    que Gilles   Bouvenot,   président   de   la   commission   de la  transparence  jusqu’en  2014,  ainsi  que  d’autres éminents   membres   de   sa   commission   ou   de   la commission  d’autorisation  de  mise  sur  le  marché des   médicaments,   ont   secrètement   conseillécontre rétribution,  pendant  près  de  20  ans,  des  laboratoires pharmaceutiques  sur  la  meilleure  façon  de  présenter leurs  dossiers  afin  d’obtenir  les  autorisations  et  les remboursements recherchés.
 
Le 19 décembre 2011, Le Figaro avait révélé que Jean-Michel Alexandre avait touché 1,2 million d’euros de la part de Servier entre 2001 et 2009. Les inspecteurs de l’Igas n’ont trouvé à cet expert émérite de biologie aucune circonstance atténuante. Les gendarmes chargés de l’enquête ont passé au crible des documents qui concernent la société Cris, une entreprise de conseil écran, financée à 25 % par Servier, le reste venant de Sanofi ou Takeda par le truchement de ses filiales allemandes. Elle a été créée par Marlène May Garnier, une ancienne salariée de Servier, recrutée par le laboratoire en 1977, et qui est également convoquée par la Justice dans le cadre du volet « tromperie et prise illégale d’intérêts » du dossier. En effet, comme Cris était une société de conseil, elle a contourné l’interdiction en toute connaissance de cause, avec la complicité des autres accusés.!
 
Repas, stylo, voyage, invitations, etc. - tout cela crée un lien, une obligation, un devoir de réciprocité qui poussent le médecin en question à renvoyer l’ascenseur en prescrivant ce que veulent les firmes
 
N'inventant plus de médicaments, l'industrie invente des maladies qui n'existent pas: préhypertension, préostéoporose, prédiabète, cholestérol, dépression courante et vingt autres, médicalisant toutes les tensions et ennuis normaux de la vie sociale, professionnelle ou émotionnelle. Cet immense bourrage de crâne, elle ne peut y parvenir qu'avec la complicité active, intéressée et lourdement rémunérée d'experts universitaires corrompus, devenus ses porte-voix.

une autorité de régulation des produits médicaux, honnête quant aux risques des médicaments , à leur efficacité, et aux alternatives, n’aurait probablement jamais mis la plupart des médicaments psychotropes sur le marché.

Comparée à l’Afssaps, la FDA est un modèle de transparenceet d’efficacité en pharmacovigilance comme en matière d’information du public et des médecins.

Or, nous avons pu constater la fiabilité de l’AMM que certains appellent à présent Autorisation de Mise à Mort, et l’intégrité de l’Afssaps, dépendante des laboratoires, même si elle a changé de nom, qui attend toujours qu’il y ait un nombre de morts conséquent pour retirer le produit du marché.

« Le travail de l’agence est une comédie, tout est décidé en amont ! »
Sur les 429 membres inscrits en 1999 aux différentes commissions d’experts de l'Afssaps, 334 déclaraient entretenir un lien direct ou indirect avec un laboratoire
 
« Comment dans ces conditions, s’étonne le Sénat, ne pas redouter que les agences ne soient devenues au fil des années les instruments dociles de ceux qui fournissent la majorité de leurs subsides ... ? »
 
AVANDIA® : 83.000 accidents cardiaques aux USA, une agence du médicament en coma dépassé, un plan orchestré pour intimider un expert récalcitrant, des médecins sous influence du marketing…bienvenue dans le monde de BIG PHARMA
 
la décision se prend sur la base d'un dossier préparé par l'industriel
 
Scandale d'État(s)
 
La France plus vigilante sur les plantes que sur le Vioxx
 
l'agence française de sécurité sanitaire (AFSSAPS), chargée de la pharmacovigilance et de l'information sur les risques des médicaments, n'a pas (encore?) jugé bon d'avertir les patients français et leurs médecins.
 
Financée à environ 80% par l'industrie du médicament, elle fait appel à près de 2000 experts par an, la grande majorité travaillant pour les laboratoires privés.
 
Liens experts / firmes : pourquoi se gêner ?
Les révélations de Mediapart sur un système d'ententes entre des hauts responsables du médicament en France et des firmes appellent une réaction forte des autorités politiques et du monde médico-pharmaceutique. Une première étape consiste à faire que le "sunshine act à la française" permette réellement de connaître les plus gros liens d'intérêts des soignants avec des firmes, tout autant que les plus petits
 
Comparée à l’Afssaps, la FDA est un modèle de transparence et d’efficacité en pharmacovigilance comme en matière d’information du public et des médecins.
 
ut le travail des autorités de pharmacovigilance (Afssaps, HAS en France, EMEA en Europe) privilégie les intérêts des firmes pharmaceutiques,
 
C’est une affirmation de l’igas. Sans mâcher ses mots, il dépeint la faillite d’un système. Celui qui consiste normalement à autoriser et rembourser des médicaments utiles et pas dangereux, à surveiller ses effets secondaires et à les retirer si besoin.
Plus de 99% des membres  experts travaillent ou ont travaillé pour des laboratoires…..


Conflits d'intérêts : la réforme du médicament ne règle rien
Les experts de santé publique ne pourront participer aux décisions sur les médicaments que s’ils ont déclaré les liens d’intérêt qu’ils ont avec les labos. Une déclaration pas à jour ou incomplète entrainera une amende de 30 000 euros,

Notre système de santé est il totalement corrompu ?
L'affaire du Mediator rebondit une nouvelle fois. Un responsable et une ancienne employée des laboratoires Servier, ainsi que deux anciens responsables de L'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM) auraient été mis en examen entre le 12 et le 14 février.

afssaps, miracles et imcompétence : Le Vioxx, cet anti-inflammatoire prescrit dans l'arthrose aurait fait des dizaines de milliers de victimes aux États-Unis. Et en France ? Selon l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), notre pays aurait été miraculeusement épargné. Un peu comme quand le nuage de Tchernobyl s'est arrêté aux frontières...Ce n'est pas sur France-Inter ou sur France 2 que les autorités sanitaires françaises sont accusées de lenteur ou d'incompétence. C'est dans le Lancet, la revue médicale britannique, qui n'est pas forcément lu par vos voisins de palier. Dommage. "L'affaire du vioxx a eu aussi un énorme retentissement en France, ou le ministre de la santé lui avait rmis lui-même solannellement, au sénat, le "prix médical de l'année" en 2002, et lui avait accordé un niveau de prix cinq fois supérieur à celui des anti-inflamatoire courants. Une étude de l'Agence Française du médicament (par enquêtes téléphoniques) concluait en outre, seule au monde, en mai 2004, à l'absence de risques cardiaques des Coxibs."extrait de La vérité sur les compagnies pharmaceutiques : Comment elles nous trompent et comment les contrecarrer de dr Marcia Angell rapellons que : "Le Vioxx, ou rofecoxib, c'est ce médicament anti-inflammatoire de l'arthrose et de l'arthrite que le laboratoire Merck a retiré du marché le 30 septembre 2004 pour cause d'infarctus et de morts subites en série."et que "La FDA est responsable de 140000 crises cardiaques et 60000 morts Américains." 

AVC, infarctus, décès : l’ANSM s’offre un nouveau Mediator : Alertes de pharmacovigilance ignorées, décès passés sous silence, lobbying des firmes pharmaceutiques, articles de Prescrire enterrés, amphétamines cachées, AVC, infarctus, et décès imputables à des médicaments soignant une pathologie bénine, et même des addictions, les autorités de santé françaises réécrivent une variante de l'histoire tristement célèbre du Mediator, avec cette fois-ci avec les médicaments anti-rhume.

Corruption des hautes instances cardiologiques : Prenons le cas de la Société Française de Cardiologie, fin 2013 sur les 43 membres du conseil d'administration 2012-2016, 31 déclaraient des liens avec un ou plusieurs organismes pharmaceutiques (dont plusieurs commercialisent des statines) et 4 personnes n'apparaissaient tout simplement pas sur la liste. Je n'ai pas examiné les autres personnes, mais pour les curieux voici le lien : SFC : Déclaration de Relations Professionnelles 2013

la FDA est devenue la plus grande menace pour la santé et la sécurité du peuple américain et europeen
 
"Natural News" a appris que la FDA (Food and Drug Administration) réalise des extorsions d’argent auprès des sociétés de suppléments nutritionnels, afin de remplir les poches des responsables de la FDA. Cette opération criminelle est en place depuis des années, et a été réalisée en toute impunité, car chaque société ciblée par cette arnaque se sent isolée et démunie, incapable de faire face aux frais de procès astronomiques nécessaires contre la FDA.
 
« La FDA a, de façon répétée, caché les preuves de fraudes scientifiques, pas seulement au public, mais aussi à ses propres experts les plus fiables, y compris lorsque ceux-ci devaient décider si un médicament pouvait ou non être autorisé ». « Cela signifie que les médecins du monde entier fondent des décisions vitales pour leurs patients sur des études que la FDA sait ne pas être crédibles ».
Charles Seife explique : « La FDA a, de façon répétée, caché les preuves de fraudes scientifiques, pas seulement au public, mais aussi à ses propres experts les plus fiables, y compris lorsque ceux-ci devaient décider si un médicament pouvait ou non être autorisé ». « Cela signifie que les médecins du monde entier fondent des décisions vitales pour leurs patients sur des études que la FDA sait ne pas être crédibles ».
 
C’est la question posée par un sondage mis sur Internet par une énorme agence de diffusion publicitaire américaine dévouée au business de la santé et appelée MEDPAGE TODAY.
 
« Le système est complètement pourri, les laboratoires pharmaceutiques achètent tout le monde »
 
 2 527 854 cadeaux soit 244 572 645 € entre janvier 2012 et juin 20
 
L'industrie pharmaceutique a infiltré et corrompu tous les systèmes de santé publique dans le monde à tous les niveaux : médecins, instituts de recherche, publications scientifiques prestigieuses de même que les agences gouvernementales comme la FDA. Très peu de gens tirent avantage des médicaments qu'ils consomment. En fait, les médicaments seraient la troisième cause de décès dans les pays riches.
 
Tout en travaillant pour Eli Lilly, John Virapen engagée dans le développement de stratégies de marketing agressives, qui comprenait à la corruption massive dans plus d’une occasion. Il a participé à la distribution de médicaments résolue, qui provoquent des effets secondaires énormes et dangereuses comme la mort du patient. Les sociétés pharmaceutiques investissent la somme considérable de 35 000 euros par an et le médecin pour obtenir les médecins à prescrire leurs produits. John Virapen dit que plus de 75 pour cent des scientifiques de premier plan dans le domaine de la médecine sont payés par l’industrie pharmaceutique. Dans certains cas, la corruption régnait dans l’approbation et la commercialisation des médicaments. John Virapen écrit que les maladies sont constitués par l’industrie pharmaceutique et en particulier commercialisés pour améliorer les ventes et les parts de marché pour les entreprises en question. Les compagnies pharmaceutiques ciblent de plus en plus les enfants.
 
Le véritable danger vient de 5 % d’entre eux, baptisés leaders d’opinion clé, achetés et inféodés à l’industrie, à coup de contrats personnels, déclarés ou non, d’enveloppes en liquide, en général à l’étranger, et qui atteignent de 20.000 à 500.000 € par an ou plus, selon l’importance des marchés qu’ils assurent à l’industrie dans leur pays. Ils la servent à toutes les étapes du parcours d’un médicament nouveau. Ils cosignent les yeux fermés les articles rédigés par les firmes, les présentent dans les congrès qu’elles financent, déterminent la position des sociétés savantes qui, financièrement, dépendent à 90 % de l’industrie, et sont toujours choisis, à cause de la notoriété médiatique que leur assurent les firmes, comme experts par les agences d’État, imposant ainsi les autorisations de commercialisation (AMM), empêchant les retraits du marché, assurant le remboursement maximal des médicaments et déterminant les recommandations officielles des agences, de telle sorte qu’en pratique, à travers eux, c’est l’industrie qui tient elle-même la plume des médecins prescripteurs.
 
Le Dr Jerome Kassirer propose un regard inquiétant sur les pots-de-vin que des médecins acceptent des géants de l’industrie pharmaceutique et d’autres fournisseurs. II fait valoir que les milliards déversés par l’industrie ont détraqué la boussole morale de plusieurs médecins, et que ces combines ont miné la qualité des soins que nous prodiguent au jour le jour les médecins et les institutions qui avaient toute notre confiance. Bourré de véritables histoires d’horreurs, ce livre met en lumière les manigances financières entre les grosses compagnies qui fabriquent les médicaments et les médecins qui les prescrivent.
 
Que rapporte un essai clinique aux médecins :« Le cancer, un moyen de gagner de l’argent » chimiothérapie : chaque malade inclus rapporte 7.000 € antidépresseurs : 12 300 euros pour chaque malade suivi (soit 193000 euros)
 
corruption
les départements d’oncologie sont les secteurs les plus corrompus du système parce que les patients paniqués sont prêts à prendre et à faire n’importe quoi, même avec des taux de succès de 3 % à la clé.
« J’ai eu à régler un cas où la CSST obligeait un patient à subir une chimio qu’il refusait, mentionne l’éthicienne clinique. S’il la refusait, c’est qu’il n’était pas malade, donc, on lui coupait ses prestations… »
 
Laboratoires pharmaceutiques : je rémunérais des médecins pour vendre des médicaments Rémunération d’experts, mise sous silence des effets secondaires de certains médicaments… Dans son livre « Omerta dans les labos pharmaceutiques« , le médecin Bernard Dalbergue raconte les manipulations dont il a été témoin pour faire passer en force des médicaments. Il dénonce un système aux dérives abjectes, et parfois mortelles.
 
De nombreux universitaires et leaders d’opinion de la communauté sont payés des sommes importantes pour les produits de l’industrie du marché en devenant membres de bureaux de conférenciers, en élaborant du matériel de marketing déguisés en information scolaire, par les articles signataires écrites par nègres, et en favorisant l’utilisation hors AMM de produits. Ces activités peuvent bénéficier les actionnaires des entreprises, mais ils n’ont pas bénéfique pour les patients, et parce que les produits promus sont généralement le plus récent et le plus cher, ils gonfler le coût des soins.
 
Nous savons tous que les médecins acceptent des dons de compagnies pharmaceutiques, allant des stylos et des tasses de café a des vacances gratuites dans les stations de luxe. Mais comme l’ancien rédacteur en chef du New England Journal of Medicine révèle dans cette choquant expose, ces dons anodins en apparence ne sont que la partie émergée d’un iceberg qui déforme la pratique de la médecine et qui mettent en péril la santé de millions d’Américains d’aujourd’hui .
 
L’industrie pharmaceutique reverse chaque année 57 milliard de dollars au « Top Médecins » afin qu’ils influencent leur collègues (page 127)
 
Médicaments meurtriers et crime organisé. Comment Big Pharma a corrompu la Santé :Corruption systématique L’essentiel de l’ouvrage de Peter est consacré à la mise en valeur du fait que l’industrie pharmaceutique a systématiquement corrompu la science en amplifiant les bénéfices et en minimisant les méfaits de ses médicaments. En tant qu’épidémiologiste, ses énormes connaissances et sa passion du détail qui en ont fait un leader mondial dans la critique des études cliniques, Peter est ici sur un terrain très solide. Son nom s’ajoute à celui de nombreux autres, y compris d’anciens éditeurs du New England Journal of Medicine qui ont dénoncé cette corruption. Il montre aussi comment l’industrie a acheté des médecins, des universitaires, des revues, des organismes professionnels, des associations de patients, des départements universitaires, des journalistes, des organismes de régulation, et des politiciens. Ce sont les méthodes mêmes de la mafia. Le livre ne permet pas aux médecins ni aux universitaires d’éviter le blâme. En effet, on pourrait faire valoir que les compagnies pharmaceutiques font ce qu’on attend d’elles pour maximaliser les rendements financiers des actionnaires, mais les médecins et les universitaires sont censés avoir une vocation plus élevée. Les lois qui obligent les entreprises à déclarer les sommes qu’elles payent aux médecins montrent que de très nombreux médecins sont redevables à l’industrie du médicament, et que beaucoup reçoivent des sommes d’argent pour conseiller les entreprises ou pour donner des conférences en leur nom. Il est difficile d’échapper à la conclusion que ces « leaders d’opinion » sont achetés. Ce sont les « mercenaires » de l’industrie. Et comme avec la mafia, malheur à quiconque dénonce ou apporte des preuves qui ne sont pas favorables à l’industrie. ….Il n’est donc pas tout à fait fantaisiste de comparer l’industrie du médicament à la mafia
 
Rapport mondiale sur la corruption dans la santé : Aucun pays n’est épargné par la gangrène qui vérole le secteur de la santé Et cela, à des niveaux divers, selon le degré de contrôle des réseaux de soins, de distribution des produits pharmaceutiques ou d’assurances maladie, mais toujours au mépris des patients et des contribuables qui financent les services publics télécharger le rapport
 
Des conflits d’intérêts manifestes à la Haute autorité de santé : Jean-Jacques Baldauf, dans sa déclaration de conflits d’intérêts, mentionne qu’il est « investigateur principal » sur le Gardasil pour Sanofi Pasteur ;
sa consœur Brigitte Letombe, outre des missions ponctuelles pour les laboratoires fabricant ce vaccin, signale à la rubrique « autre » de la longue liste des conflits d’intérêts, qu’elle travaille pour la communication de Sanofi depuis janvier 2009.
 
Merck montre une compagnie dirigée par des assassins, qui s’occupent d’opinion en cherchant à détruire la vie et la carrière des universitaires qui osent dire la vérité sur ses dangereuses spécialités.
 
…la grande criminalité internationale aussi bien que les fraudeurs de moindre envergure, infirmiers, médecins, administrateurs…
 
L’esprit de tromperie et de fraude qui imprègne la médecine ordinaire
 
à la seule école de l’industrie pharmaceutique; l’invention de maladies imaginaires pour l’unique profit d’entreprises florissantes; la partialité des experts; le laxisme d’autorités sanitaires bienveillantes; la force d’un lobby mieux organisé que jamais…
 
Date de parution: 10-1991
 
A défaut de patients, le Doc’ Lönngren soignait son avenir…
 
beaucoup de médicaments qui est censés pour être efficaces est probablement peu mieux que le placebo, mais il n’y a aucun moyen de savoir parce que des résultats négatifs sont cachés
 
Quinze des chirurgiens ont obtenu au moins $ 62 millions de la société au cours de la dernière décennie, indique le journal, citant une analyse des documents et des informations sur Medtronic site de la société.Une nouvelle étude publiée dans le Journal Spine a déclaré complications graves telles que le cancer, la stérilité, les infections, la dissolution des os et aggravé dos et de douleurs, est survenue chez 10 à 50 pour cent des patients qui ont été administrés infuser un produit ou soeur dans 13 essais cliniques financés par Medtronic et réalisée par les chirurgiens entre 2000 et 2010, le Wall Street Journal
 
les sommes considérables versées par les industriels à des médecins « prescripteurs » doté d’une aura importante En 2008, plusieurs articles du « New York Times » rapportaient que l’Association américaine des psychiatres faisait l’objet d’une enquête sur les sommes considérables reçues par ses membres – lesquels omettaient de déclarer ce « détail » lorsqu’ils allaient vanter les mérites de tel ou tel médicament dans le traitement de maladies psychiatriques En mars 2009, le même « New York Times » racontait comment un Professeur de Harvard concevait des études « à la carte » sur des enfants pour donner des résultats positifs au laboratoire dont il testait les médicaments !
 
Lutte contre la corruption des médecins Une loi du 27 janvier 1993 punit sévèrement les formes déguisées de pots-de-vin que peuvent être les cadeaux, invitations et congrès exotiques offerts par les laboratoires aux médecins. Au nom du respect de la concurrence et de la déontologie
 
L’appel des 50 médecins généralistes contre la corruption 31-10-2007-Cinquante généralistes écrivent une lettre à Nicolas Sarkozy pour lui demander de lutter contre la corruption du corps médical.
 
Aux États-Unis, l’industrie pharmaceutique est devenue la plus grosse source de fraudes organisées… devant l’industrie militaire ! La rançon du succès…
 
jean-luc Harousseau, nouveau patron de la Haute Autorité de santé, cet ancien président UMP du conseil égional des pays de la loire a touché 205 482 euros en 2008, 2009 et 2010 de la part de laboratoires et il lui a fallu un bon mois, pour tenir la promesse faite à la commission des Affaires sociales de l’Assemblée nationale de récapituler l’ensemble des liens d’intérêts qu’il a entretenus avec l’industrie pharmaceutique au cours des trois années écoulées.
 
Ces pots-de-vin auraient été versés sous le nom de «frais à titre de recherche» à 503 médecins et 79 hôpitaux Sanofi avait versé «autour de novembre 2007» des pots-de-vin totalisant 1,69 million de yuans (207.000 euros)
 
Quand il s’agit des turpitudes du marigot politique, la presse adore monter à la « une » les affaires de pots-de-vin. Pourtant, quand Glaxo SmithKline (GSK) fait l’objet, en Italie, d’une gigantesque enquête de police, concernant 2 900 médecins, c’est un silence médiatique quasi absolu : à l’exception du British Medical Journal (BMJ) et du Guardian de Londres (13 février 2003), on ne trouve à peu près rien sur cette énorme affaire. Et pourtant, 37 employés de GSK Italie et 35 médecins ont été inculpés pour « corruption » ; 80 visiteurs médicaux accusés de versements illégaux à des médecins pour qu’ils prescrivent les produits de cette firme plutôt que leurs équivalents génériques. Au cours de son enquête
 
liens financiers qui placent toujours les psychiatres en tête des médecins les plus payés pour faire marcher le commerce »… « En deuxième position des plus corrompus arrivent les médecins spécialisés dans le traitement des affections cardio-vasculaires. Deux d’entre eux se distinguent pour avoir reçu la coquette somme de 312.000 dollars
 
Aux enquêteurs chinois, Abbas Hussein, directeur international pour l’Europe et l’Asie chez GSK, a déclaré en ce début de semaine reconnaître la responsabilité de son entreprise dans une corruption massive de personnels hospitaliers, afin qu’ils prescrivent en priorité ses onéreux médicaments
 
Pourquoi est-il alors que la plupart des médecins acceptent volontiers la commandites de compagnies pharmaceutiques qui ont gagné une grande partie de leur argent illégalement tout en étant pleinement conscients que leurs activités criminelles ont tué des milliers de patients
… La rémunération annuelle moyenne pour les dirigeants de centres médicaux universitaires aux États-Unis quand ils siègent aux conseils de sociétés pharmaceutiques d’administration est énorme : $ 312 564.
 
Pfizer a corrompu des médecins à grande échelle pour qu’ils prescrivent n’importe quoi Un ancien délégué médical, John Kopchinski, sort vainqueur de 6 années de procédures judiciaires contre son ancien employeur, le géant pharmaceutique mondial Pfizer. Via des commissions occultes, la firme encourageait des centaines de médecins à prescrire des médicaments surdosés ou à contre-emploi.
 

Charles Caulin est aujourd’hui mis en examen pour participation illégale d’un fonctionnaire dans une entreprise précédemment contrôlée ; Jean-Roger Claude, Michel Detilleux et Bernard Rouveix pour prise illégale d’intérêts. Et May Garnier pour complicité de ce délit.Un autre consultant de Servier mis en examen est le professeur Jean-Michel Alexandre, personnage clé du système du médicament de 1985 à 2000. Il a présidé la commission d’AMM de 1985 à 1993, puis a dirigé la commission d’évaluation de l’agence du médicament de 1993 à 2000, tout en exerçant la même responsabilité au niveau de l’agence européenne.Auditionné en 2011, par la mission d’information de l’Assemblée nationale sur le Mediator, Jean-Michel Alexandre avait déclaré d’emblée qu’il n’avait jamais « touché le moindre émolument de l’industrie pharmaceutique » pendant qu’il exerçait ses fonctions à l’Agence du médicament. Mais après avoir pris sa retraite, il a perçu entre 2001 et 2009 un total de 1 163 188 € versés par le groupe Servier à la société CRIS, déjà citée, qui a joué le rôle d’intermédiaire. Il semble que ce circuit indirect ait été choisi parce que du fait de ses fonctions antérieures, Alexandre ne pouvait pas travailler pour une firme pharmaceutique. Entendu par les magistrats, Jean-Michel Alexandre a affirmé que la teneur de ses conseils était « scientifique » et n’avait « rien à voir avec (son) activité à l’Afssaps ». Cela ne concorde pas avec les relevés d’honoraires qu’il a adressés à May Garnier. Un relevé daté d’avril 2002 fait état de plusieurs réunions de travail, dont deux avec Alain Le Ridant, dirigeant de Servier qu’Alexandre connaît de longue date. Au programme d’une de ces réunions : « Amélioration du dossier d’AMM de Vastarel, destiné à l’Allemagne ». Une autre réunion mentionne, toujours à propos de Vastarel, « communication de résumé du dossier d’AMM, note technique et note économique ». La facture se monte, pour cinq réunions, à 38 112 € hors taxes.Une autre facture, datée du 20 octobre 2008, évoque les cas d’effets indésirables dus au Protelos et les réponses données au Comité européen des médicaments à propos du Valdoxan, et deux autres produits. Montant pour cinq réunions : 35 000 €. Dans d’autres cas, la facture indique simplement « Préparation et tenue de réunions avec M. Alain Le Ridant et Mme Garnier ».

 
Les laboratoires pharmaceutiques seraient très très généreux avec nos chers médecins ! Entre janvier 2012 et juin 2014, ils auraient ainsi versé par moins de 236 millions d’euros en cadeaux et autres petits avantages (repas, frais hôteliers, voyages, etc.) aux professionnels de santé, du chirurgien au généraliste, en passant par le pharmacien et la sage-femme. Largement de quoi se payer le dernier modèle de l’Airbus A350 !
Pour mettre au jour un tel micmac, l’association Regards Citoyens a compilé depuis 2 ans et demi les données publiées par l’ordre des médecins, des pharmaciens, des dentistes, des infirmiers et des sages-femmes, mais aussi par le ministère de la Santé. Au total, ce sont ainsi plus de 400.000 professionnels qui se feraient arroser par le lobby pharmaceutique. « Il faut ajouter les internes, le personnel administratif dans les hôpitaux et les cliniques, les associations de praticiens et parfois même les associations de malades, qui ne sont pas insensibles aux présents des labos, mais n’apparaissent pas dans les statistiques officielles », précise Tangui Morlier, l’un des auteurs de ce travail de fourmi, aussi consultant en informatique.
 
Après nos révélations sur les liens cachés entre des présidents et des vice-présidents de commissions qui autorisent la vente de médicaments, déterminent leur remboursement et leur prix, Mediapart a appris qu’un autre ancien vice-président de la commission de la transparence a été mis en examen dans le cadre de l’affaire du Mediator, notamment pour « prise illégale d’intérêts »
 
Pour en finir avec les conflits d’intérêts dans la santé Pour réaliser 10 milliards d’euros d’économies par an en révisant la politique du médicament AIDEZ-NOUS A FAIRE PRESSION SUR LE MINISTERE DE LA SANTE.
 
Il y a un autre aspect de la fraude à très large échelle au sein de la quasi totalité d’industries pharmaceutiques, corruptrices jusqu’à la moelle. Cette industrie ne se contente pas seulement de corrompre des ministres, ou des personnes des instances européenne du médicament, elle ne se contente pas seulement de soudoyer des présidents d’ordre de médecin, elle ne se contente pas de faire des tests sur des orphelins pour qu’aucun parent ne crie au scandale. C’est tout au long de la chaîne que la moisissure morale, l’état mental mafieux qui fait de cette industrie une usine pire que les cheminées des camps de concentration, car cette industrie tue un gigantesque paquet de monde par toutes ses fraudes.. et la pile de cadavres est bien supérieure au camps de la mort, même si cela vous semble impossible.
Par exemple les essais de médicaments biaisés, trafiqués, truqués sont légions, ceci semble pas du tout connu par l’ensemble de la population qui continue à faire des dons pour des tas de recherches médicales “dites” scientifiques pour les rassurer mais mieux les plumer; ce qui semble de plus en plus scientifique: c’est l’opérandi mafieux de cette l’industrie, et là il est temps de dire stop.
 
Eli Lilly divulegue maintenant les paiements aux médecins dans son «registre de la faculté.«  Malgré une limite individuelle de 75 000 $, les paiements de Lilly aux médecins pour le premier trimestre de 2009 ont totalisé 22 millions $.
 
244 millions d’euros : c’est ce qu’ont dépensé les laboratoires pharmaceutiques en cadeaux, voyages, repas et nuits d’hôtels pour les professionnels de santé français – médecins en tête – entre janvier 2012 et juin 2014. Ces liens troublants entre fabricants de médicaments et prescripteurs ont été révélés par l’association Regards citoyens, qui a collecté pendant près de deux ans les données publiées sur les sites des Ordres de médecins et sur celui du ministère de la Santé.
 
«Les médecins sont manipulés par nous, et nous par les labos»
 
Les labos versent de très grosses sommes d’argent aux leaders d’opinion, des médecins hospitaliers qui en ont besoin pour poursuivre leurs recherches. Ils doivent à tout prix en publier les résultats : "publish or perish" (publier ou périr), telle est leur devise. Plus ils publient, plus ils gagnent de points pour pouvoir devenir chef de service.
 
Ces derniers mois, deux livres d'exception ont secoué le monde de la santé.
 
En fonction du nombre de patients placés sous tel ou tel produit, les praticiens reçoivent des cadeaux.
 

« La différence avec la mafia, dit le  Dr Turcotte, c’est que les mafieux ne se tuent qu’entre eux. »

Corruption secteur santé

Agence européenne du médicament : trop de conflits d'intérêts : Un audit officiel a révélé une gestion irresponsable par l'Agence européenne du médicament des conflits d'intérêts de son personnel et des experts externes qu'elle sollicite pour prendre ses décisions.

OMS : le « pape de la grippe A » accusé de corruption ; On le surnomme « Dr Flu » (Docteur Grippe), le professeur Albert Osterhaus est le principal conseiller de l’Organisation mondiale de la Santé face à la pandémie de grippe H1N1. Depuis plusieurs années, il prédit l’imminence d’une pandémie globale et ce qui se passe aujourd’hui semble lui donner raison. Cependant, le scandale qui a éclaté aux Pays-Bas et fait l’objet d’un débat au Parlement a mis en évidence ses liens personnels avec les laboratoires fabriquant les vaccins qu’il fait prescrire par l’OMS. F. William Engdhal relate comment un expert peu scrupuleux a pu manipuler l’opinion publique internationale, surévaluer l’impact de la grippe H1N1, et faire la fortune des laboratoires qui l’emploient.

Non seulement la personne Osterhaus connecter à un réseau international qui a été décrite comme la mafia Pharma, il est le principal conseiller de l’OMS sur la grippe…
Le laboratoire Servier aurait voulu faire taire plusieurs médecins qui ont mené des recherches sur l’Isoméride
Le professeur Abenhaim aurait reçu « des petits cercueils à son domicile », un haut responsable de l’Agence du médicament affirme « avoir été menacé de mort », un journaliste travaillant sur l’Isoméride « a été intimidé par des détectives qui ont enquêtés sur sa vie privée » et une avocate belge qui travaillait pour des victimes américaines « a reçu une photo de sa fille en train de se rendre à l’école ».
 
que doit-on penser de cela ? pièce jointe n° 29 et L’EMA ne fera plus appel à des experts ayant travaillé pour l’industrie pharmaceutique Le Quotidien du Médecin.
 
Les enquêtes journalistiques sur les scandales sanitaires au cours des dernières décennies (amiante, éthers de glycol, plombages au mercure, Vioxx, Mediator, etc.) ont beaucoup contribué à cette évolution car elles ont identifié chaque fois le poids des lobbies, tout particulièrement les lobbies de la chimie, du médicament et de certaines institutions littéralement phagocytées par les experts rémunérés par les producteurs, comme les agences du médicament

1 juillet 2019

Négationnisme des labos / Thalidomide : Le laboratoire Grunenthal savait, mais il n'a rien fait pour stopper le massacre !

1 juillet 2019

Myofaciite a macrophage, NEGATIONNISME des médecins et autorités sanitaires

1 juillet 2019

Ritaline et NEGATIONNISME : il n'y a pas de dépendance au METHYLPHENIDATE, Il n'y a pas d'accoutumance au METHYLPHENIDATE

Article Annexe III: Méthylphénidate
Ce produit entraîne une accoutumance masquée et une dépendance physique
Récemment, dans un avis sur les toxicomanies, le Comité Consultatif National d’Éthique (CCNE) français pour les sciences de la vie et de la santé soulignait que « la distinction entre les drogues licites  et les drogues illicites ne repose sur aucune base scientifique cohérente » (Rapports sur les toxicomanies, 1995, p. 3). Par exemple, sur le plan neuropharmacologique, le mode d’action d’une drogue illicite, comme la cocaïne, et celui d’une drogue licite (sous usage médical), comme le méthylphénidate (Ritalin), est presque identique (Volkow et al., 1995).
La littérature scientifique la plus récente indique que les garçons âgés de 7 à 9 ans ayant un diagnostic d’hyperactivité légère dans les années 1970 et traités par Ritalin (méthylphénidate) ont, en tant que groupe, un résultat tragique. Comparativement à un groupe témoin d’enfants normaux de la même période, ils ont des taux beaucoup plus élevés de décès précoce, d’atrophie du cerveau, de suicide, d’hospitalisation psychiatrique, d’incarcération et de toxicomanie. En presque toutes les mesures, ils ont réduit la qualité de vie et une vie raccourcie .
La Ritaline® étant une amphétamine, ses effets sont comparables à ceux de la cocaïne et elle correspond à la définition des drogues illégales.
Le méthylphénidate (Ritaline), stimulant du système nerveux central est pharmacologiquement proche des amphétamines, a de graves effets secondaires (insomnie, dépendance, dépression…) qui incitent à prendre de nouveaux traitements tels les somnifères. Les effets secondaires peuvent aller jusqu’à des phénomènes d’accoutumance. Ils  provoquent parfois des lésions graves, notamment des accidents cardiaques, ou bien aboutissent à des automutilations, des décès, des tentatives de suicide et des passages à l’acte suicidaire.
Il entraîne une dépendance et un cortège d’effets secondaires non négligeable. Dans cette famille des amphétaminiques masqués, on trouve aussi le fameux Mediator, aux dégâts désormais notoires, symbole de la faillite des autorités sanitaires
La drogue est partout elle est déjà pratiquement légalisée, elles coulent à flot et inondent le marché, cannabis, cocaine, crak, sans parler des produits de l’industrie pharmaceutique comme la ritaline qui est encore plus toxique que la coke et tous les psychotropes avec son cortège d’horreur, gamins perdus, sans repère hors tous système car incapable d’attention, des larves alors qu’ils ont parfois même pas 12 ans, dernière les drogues sont donnés aux enfants soldats comme on le voir dans ce rapport parlementaire canadien. Rapport que je conseille à quiconque veut comprendre l’ampleur de la richesse que l’on peut accumuler avec ses drogues, une arme de destruction massive.
« la ritaline et le concerta sont similaire a la cocaîne dans leurs effets »
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1 juillet 2019

Mensonge ou NEGATIONNISME : la dangerosité des malades mentaux

 » Les crimes dont les auteurs sont des malades mentaux avérés représentent entre 2 et 5 % de la totalité des crimes en France. Au minimum, 95 % des crimes sont donc dépourvus de pathologies psychiatriques. On ne peut donc pas stigmatiser les malades mentaux du fait de leurs violences, même si on ne les comprend pas. Un chiffre est d’ailleurs révélateur : 99,70 % des schizophrènes ne vont jamais tuer. C’est un peu plus que votre probabilité ou la mienne….. »
1 juillet 2019

NEGATIONNISME des médecins et graves effets secondaires du gardasil / cervarix

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1 juillet 2019

Le NEGATIONNISME MEDICAL et industriel ne date pas d'aujourd'hui : radiations

1 juillet 2019

Gadolinium (contraste pour IRM) effet secondaire dramatiques et NEGATIONNISME DES MEDECINS

"ces entreprises continuent de dire qu'il n'y a pas de lien entre le gadolinium et les événements indésirables, même si les preuves sont accablantes que ce métal lourd reste dans le corps pendant des années, plutôt que des heures"

La communauté médicale n'est toutefois pas prête à établir un lien entre ces symptômes et l'accumulation de gadolinium dans le corps.

Cependant, de plus en plus de preuves suggèrent que, dans de rares cas, le métal reste et s’accumule dans le corps. Et le risque d'accumulation chez les patients n'a été reconnu par les médecins que ces dernières années, après qu'une étude menée en 2015 ait révélé la présence de gadolinium résiduel dans le cerveau de patients soumis à de multiples IRM à contraste renforcé.

"Cela a été confirmé par la suite par de nombreuses études d'imagerie de suivi, ainsi que par des études d'autopsie chez l'animal et chez l'homme, qui ont confirmé que de petites quantités de gadolinium sont retenues dans certaines structures du cerveau, ainsi que dans d'autres parties du corps, y compris le corps humain. la peau, les os et plus récemment le foie ", a déclaré le Dr Nicola Schieda, radiologiste à l'Hôpital d'Ottawa, qui a rédigé des lignes directrices pour la pratique clinique concernant le gadolinium à l'intention de l'Association canadienne des radiologistes.

SENSIBILISATION SUR LES DANGERS DU GADOLINIUM (facebook)

TOXICITE DU GADOLINIUM GROUPE FACEBOOK

Pétition : Arrêtez les dégâts et trouvez un remède pour les victimes de la toxicité du contraste en IRM


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1 juillet 2019

L’huile de cannabis : traitement efficace contre le cancer ? Faux nous raconte t on

Face à la perspective d’une chimiothérapie, de nombreuses personnes atteintes d’un cancer se demandent s’il existe une option plus « naturelle » et sans effets secondaires pour guérir leur cancer. En faisant des recherches, elles tomberont inévitablement sur des sites internet et des vidéos où on affirme que de nombreuses études scientifiques « prouvent » que le cannabis « guérit » le cancer.
Malheureusement, il s’agit d’une grossière exagération des preuves scientifiques existantes sur les propriétés anticancérigènes des cannabinoïdes
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NATIONAL CANCER INSTITUE

Le THC traite le cancer, pas le CBD

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1 juillet 2019

Cancer : le négationnisme médical total

Il a dit que ma guérison était probablement due à une « réaction à retardement », à la chimiothérapie.
 
cancers métastasé du sein, de la prostate, du poumon et du colon
 
Au cours des vingt dernières années, les progrès de la chimiothérapie ont permis une amélioration considérable des traitements des cancers, avec une augmentation du taux de guérison et des durées de survie pour les cancers au stade métastatique
 
docteur rashid Buttar
 
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1 juillet 2019

Tests du sida et NEGATIONNISME MEDICAL

Une étude française, publiée mardi dans le Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH), montre que les tests de diagnostic rapides du sida sont à la fois fiables et efficaces pour obtenir un meilleur niveau de dépistage.
 
Les tests du Sida ne sont pas fiable

"La séropositivité n'est pas nécessairement un signe de VIH"

1 juillet 2019

STOP AU NEGATIONNISME DES MEDECINS !

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LE NEGATIONNISME MEDICAL
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