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LE NEGATIONNISME MEDICAL
18 juillet 2019

AAAVAM : Le NEGATIONNISME dans cette association qui, en principe, devrait défendre les des victimes des médicaments

"AAAVAM et georges alexandre Imbert : Dangers publiques et /ou agents de BIG PHARMA ?

Voici le message se trouvant sur la page facebook de Georges Alexandre Imbert :
https://blogs.mediapart.fr/…/fake-news-sur-les-antidepresse…

"Fake News ! sur les antidépresseurs !

Avec plus de 6000 témoignages concernant les effets indésirables des anti-cholestérols (Statines), notamment celles du Laboratoire Allemand Bayer®, et après que notre Association ait suivi les victimes depuis le retrait du Staltor® Baycol® Cholstat® en août 2001, les interventions de « Prévention » des Professeurs Debré et Philippe Even concernant cette classe de médicaments étaient de bonnes mesures pour la Santé Publique.

Toutefois, leur nouvel ouvrage et surtout la prise de parole le 6 septembre 2018 sur la 5ème chaîne de télévision par le Professeur Debré a été d’une effroyable dangerosité, en effet, ce médecin comme beaucoup de ses confrères confond les antidépresseurs et les anxiolytiques !

Depuis la création de l’AAAVAM en 1992, avec un nombre important d’émissions de radio et de télévision, de reportages dans la presse, aucun témoignage concernant des actes de violence contre soi-même ou autrui pouvant être validés à la suite de prescriptions d’antidépresseurs en monothérapie, n’a été enregistré et transmis à la pharmacovigilance par l’AAAVAM !

Par contre nous avons reçu des centaines de témoignages parfois validés concernant des passages à l’acte (suicides, abus sexuels, crimes, accidents du travail, de la circulation et d’aviation) sous l’empire des anxiolytiques (tranquillisants ou somnifères de la classe des Benzodiazépines et apparentés comme le Stilnox®), ordonnés en monothérapie.

PRÉVENTION : Il ne faut pas ordonner d’anxiolytiques à un patient suicidaire, dépressif ou psychotique, ces psychotropes sont uniquement réservés à contenir des cas d’anxiétés et des cas de delirium tremens. (RCP Vidal®)

Pour les médecins prescripteurs confondre ces classes de psychotropes (neuroleptiques, anxiolytiques, antidépresseurs), avec leurs effets néfastes ou recherchés par les psychiatres est affligeant, des milliers de morts par mésusages chaque année pourrait être évités avec une meilleure formation en pharmacologie."

Or depuis plus de 30 ans, de grand spécialistes se battent pour faire connaitre les dangers des antidépresseurs (dr ann Blacke Tracy, prof peter Breggin.... et aujourd'hui, les profs peter Gotzsche, philippe Even....), les informations sont partout sur internet depuis plus de 15 ans, les témoignages sont partout, des livres en français sont publiés en nombre....La revue prescrire demande l'interdiction de la plupart des antidépresseurs, alors que le prof peter Gotzsche en demande quasi l'interdiction.
Aussi, il est impossible que ce président d'association, qui se voudrait défenseur des victimes des médicaments ne soit pas au courant !
Bien qu'il ne semble pas bien connaitre, du tout, les effets secondaires des psychotropes, malgré ses 27 ans d'expérience, selon lui, je me pose vraiment la question de savoir si ce monsieur et / ou son association ne sont pas au service de BIG PHARMA ????
Non seulement l'aaavam, ne lance aucune alerte sur les antidépresseurs, ce qui devrait être son rôle, mais elle les défend !

Si la politique de cette association est valable dans certains cas, c'est certain : "Notre Association, privilégie les résolutions amiables des accidents liés aux médicaments, plutôt que des procédures juridiques toujours longues et pénibles pour des malades", pourquoi, seules les autres associations font parler des scandales sanitaires, alors que la présence de l'aaavam est presque quasi inexistante dans les médias depuis 27 ans.

Je rappelle que l'aaavam refuse qu'il y ait des contacts entre les membres de l'association : une vraie dictature !

Beaucoup de question que devrait se poser les victimes avant de s'adresser à cette association, non ?"

https://www.facebook.com/stopmedtorture/posts/899091333758955?__tn__=K-R

 

Le drôle de jeu de M. Imbert
Le 13 janvier 2011 à 07h00
http://www.leparisien.fr/societe/le-drole-de-jeu-de-m-imbert-13-01-2011-1224874.php

Georges Alexandre Imbert, président de l'Association d'aide aux victimes des accidents de médicaments (Aaavam) était-il totalement désintéressé lorsque lundi dernier dans nos colonnes il réclamait des négociations « à l'amiable » avec le laboratoire Servier afin d'obtenir des indemnités pour les victimes du Mediator? Beaucoup en doutent et le soupçonnent d'être en conflit d'intérêt. Selon nos informations, l'association Aaavam, qui traite actuellement 1000 dossiers de victimes du Mediator, réclame des commissions à chaque patient qu'elle défend. En clair, un pourcentage sur les indemnités que percevra la victime devra être reversé à l'association. Sur le document que nous nous sommes procuré (voir ci-dessus), on peut en effet lire en toutes lettres « l'adhérent donne l'ordre irrévocable au cabinet d'avocats ou aux assureurs chargés de régulariser la transaction de virer au compte bancaire de l'Aaavam 5% du montant de l'indemnité allouée au titre du dédommagement ».

Une « proximité » avec Servier

Concrètement, si les mille dossiers défendus par l'Aaavam se soldent en moyenne par 100 000 â?¬ d'indemnités chacun, l'association empochera 5 millions d'euros. Une pratique qui fait bondir l'UFC Que choisir. « Ce ne sont pas des pratiques acceptables. Tout le montant du préjudice doit aller aux victimes. Les associations doivent être financées par leurs cotisations », nous déclare son président, Alain Bazot. Au contraire, pour sa défense, Georges-Alexandre Imbert, le président de l'Aaavam, nous indique « qu'il ne touche pas un centime personnellement sur ces transactions. Mais on a besoin d'un peu d'argent pour les frais de procédures, de déplacement et de secrétariat ».

Les autorités sanitaires travaillent avec cette association, et le numéro vert mis en place depuis le début de l'affaire renvoie vers trois associations de patients, dont l'Aaavam. « Le problème, c'est que M.Imbert a une relation privilégiée avec Jacques Servier, qui le manipule, peut-être à son insu », accuse un avocat. Georges Alexandre Imbert s'en défend, mais il admet une « proximit? avec lui, depuis un drame qui les unit. Isabelle Servier, fille du patron du labo, a en effet tué son mari le 18 décembre 1999, et elle a bénéficié des circonstances atténuantes car le tribunal a estimé qu'elle avait agi sous l'emprise d'un médicament de la classe des benzodiazépines, produit par la firme suisse Roche. « Isabelle Servier avait rejoint mon association avant son procès. Sur le conseil de l'avocate de Servier, j'ai effectivement été cité comme expert à son procès, et j'ai dénoncé le danger de ces médicaments. Si cela a pu l'aider, j'en suis fier », explique-t-il. Georges Alexandre Imbert a également connu un drame similaire : le °°°°°°° de son fils par défenestration après la prise de la même classe de médicaments. Une blessure à l'origine de son combat contre les médicaments dangereux.

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